par Julien Pédebos

ASSE : ces quatre manques qui ne pardonnent pas face au PSG (1-4)

L'ASSE n'a jamais été en mesure de rivaliser face au PSG lors de cette affiche dominicale (1-4).

Plusieurs raisons à cela.

Trop disciplinés... mais trop attentistes

Christophe Galtier, à la pause sur Canal Plus, a bien résumé l'état d'esprit de son équipe. A trop vouloir respecter les consignes, les joueurs stéphanois se sont transformés en spectateurs. Les Parisiens, quasiment durant toute la rencontre, ont pu développer leur jeu sans être inquiété. Et l'appel au coup de folie du coach pendant la pause n'a pas du tout été suivi d'effet.

Des erreurs individuelles qui coûtent cher

Sur le premier but de Kurzawa, Monnet-Paquet ne se replace pas assez vite, Clerc loupe son intervention. Sur le deuxième, Loïc Perrin rate le ballon et permet à Zlatan Ibrahimovic de partir dans la profondeur. A ce niveau, face à une telle équipe, les erreurs individuelles ajoutées à l'apathie collective ne pardonnent pas. D'autant plus lorsqu'elle vient d'un Perrin habituellement irréprochable.

Un quatuor offensif... inoffensif

Pour ce match, Christophe Galtier avait opté pour un trio Monnet-Paquet – Hamouma – Eysseric derrière Beric. Aucun de ces quatre joueurs n'a connu de réussite. Les deux ailiers n'ont jamais réussi à créer de différence. Beric, jusqu'à la 80e minute et une frappe repoussée par Trapp, n'a été utile qu'avec le rôle de remiseur et Eysseric n'a jamais pu assumer son rôle de meneur de jeu.

Ruffier n'a pas réalisé de miracle

Quand les choses ne tournent pas rond du côté stéphanois, les Verts peuvent toujours compter sur Stéphane Ruffier. Ce coup-ci, Ruffier n'a simplement pas été souverain. Face à Kurzawa sur le premier but, il n'a pas suffisamment bien fermé l'angle. Même constat sur le but de Cavani. Sa réaction a également été longue sur le dernier but de Lucas. Il n'y a vraiment que sur le but de Zlatan Ibrahimovic que Ruffier ne pourra nourrir aucun regret.

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Pour résumer

L'ASSE n'a jamais été en mesure de rivaliser face au PSG lors de cette affiche dominicale (1-4). Plusieurs raisons à cela.

Julien Pédebos
Rédacteur
Julien Pédebos

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