PSG : les 5 enseignements de la victoire à Montpellier (3-0)
Longtemps gêné par le terrain et un adversaire en confiance, le PSG a finalement battu Montpellier de façon assez large (3-0) ce lundi soir en 32es de finale de la Coupe de France.
Longtemps gêné par le terrain et un adversaire en confiance, le PSG a finalement battu Montpellier de façon assez large (3-0) ce lundi soir en 32es de finale de la Coupe de France.
De quoi rassurer une équipe mal en point avant la trêve.
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Paris oublie de poser le jeu
Sur un terrain boueux, le club de la capitale, habitué à posséder le ballon, avait décidé ce soir de jouer long, Zlatan Ibrahimovic faisant office de remiseur. Un choix qui se justifie mais dont les coéquipiers de Thiago Silva ont parfois abusé, sacrifiant toute construction et oubliant la profondeur. Avec peu d'occasions à l'arrivée, du moins en première période.
Et Ibrahimovic a surgi...
Une fois de plus, Zlatan Ibrahimovic a été le grand bonhomme de son équipe. Utilisé comme pivot, l'international suédois avait pourtant paru s'ennuyer durant les 60 premières minutes. Mais en l'espace d'un quart d'heure, l'international suédois a délivré une passe décisive pleine de flair et inscrit le but du break. Indispensable, comme toujours.
Cette fois, Pastore avait envie
Connaissant l'énergumène, rarement impliqué lorsqu'il entre en jeu, qui plus est sur une pelouse affreuse, l'entrée en jeu de Javier Pastore à la 76e minute avait de quoi soulever quelques craintes. Mais l'international argentin, auteur d'une passe décisive et de très beaux gestes, a fait taire les mauvaises langues en étant le grand artisan de l'écart au tableau d'affichage.
Ces remplaçants qui ont marqué des points...
Aligné côté droit, l'habituel stoppeur Marquinhos s'est montré très performant sur le plan offensif. L'international brésilien est même à l'origine des deux premiers buts. Adrien Rabiot a également rendu une copie satisfaisante en cherchant à jouer proprement et à donner de l'espace au jeu. Pas de problème non plus pour Nicolas Douchez, rarement menacé.
... et ceux qui en ont perdu
Sur un terrain guère favorable aux joueurs techniques, Yohan Cabaye s'est davantage signalé par ses fautes que la précision de ses passes. Lucas Digne n'est quasiment jamais parvenu non plus à faire la différence côté gauche. Enfin, l'ouverture du score sauve la prestation d'un Clément Chantôme maladroit le reste du temps.
Longtemps gêné par le terrain et un adversaire en confiance, le PSG a finalement battu Montpellier de façon assez large (3-0) ce lundi soir en 32es de finale de la Coupe de France.
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