par Julien Collin

PSG : Zlatan, jalousie, Areola, CFA, Blanc ne mâche pas ses mots !

Laurent Blanc, en conférence de presse, est apparu plutôt offensif avant le match contre Bastia.

Avec une sortie finale qui devrait faire parler.

Blanc revient sur ses propos sur la CFA

« Il ne faut pas y voir un manque de respect pour Bastia. Le club n'est pas concerné par ces propos. D'ailleurs, j'ai beaucoup de respect pour l'entraîneur et le club qui nous a battus. (…) Bien sûr qu'il n'y aura pas de joueurs de CFA sur le terrain. »

Blanc ne veut pas parler de la sanction de Zlatan... mais l'attend au top

« Je suis là pour parler de la finale. Le reste on en reparlera, mais pas ce soir. (...) C'est un garçon qui traverse un moment difficile. Est-ce qu'il sera plus motivé ? Il faudra lui poser la question. Mais je pense qu'il sera quand même motivé. Ca reste un joueur capable de faire des choses hors norme.»

Blanc évoque sa composition contre Bastia

« Quelque soit la composition que j'alignerai demain, si ça se passe mal, c'est l'entraîneur qui va trinquer. On va analyser, voir qui est disponible. Il y a Lucas qui est là, Edi (Cavani) qui n'est presque plus gêné derrière la cuisse. »

Blanc ne redoute pas l'agressivité de Bastia, bien au contraire

« L'agressivité fait partie du football. C'est un spectacle avec de l'engagement, c'est la beauté d'une finale. Chacun joue avec ses qualités. Si on ne peut plus mettre de l'agressivité dans le jeu, ce n'est plus du football. »

Areola, un cas qui agace Blanc

« Bientôt, il va falloir légiférer avec les joueurs prêtés. Il n'y a pas de règlement alors il y a des paroles. Il y a eu des problèmes lors de Caen – Bordeaux par exemple. Il y a quand même des questions à se poser parce qu'Alphone, il est quand même chez nous... »

Pour Blanc, la France est jalouse du PSG

« Ce que je vois c'est qu'on est dans des situations où personne ne nous aide. Mais on attend de l'aide de personne. En France, un pays que j'adore, la jalousie est beaucoup présente. On est jaloux des gens qui ont des moyens, des gens qui réussissent. Je vais te donner un petit exemple avec Marco Verratti. On est derrière lui, à lui dire "ne bouge plus, ne gesticule plus". Pourtant il a pris cinq cartons jaunes, en ne faisant qu'une faute par match. On se dit qu'il y a des choses dites sur Verratti, de lui mettre un jaune à chaque faute. On dit que le PSG est aidé parce qu'il a de l'argent mais c'est faux. En France, on n'aide pas les gens qui réussissent. On a un calendrier qui nous a été donné, on va essayer de gagner les matchs, c'est le plus important. »

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Pour résumer

Laurent Blanc, en conférence de presse, est apparu plutôt offensif avant le match contre Bastia. Avec une sortie finale qui devrait faire parler.

Julien Collin
Rédacteur
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