On pouvait s’en douter au moment de son coup de colère contre les arbitres à Bordeaux : l’affaire Zlatan Ibrahimovic allait devenir une affaire d’Etats… Et ce quel que soit les excuses prononcées par l’attaquant du Paris Saint-Germain par la suite.
On pouvait s’en douter au moment de son coup de colère contre les arbitres à Bordeaux : l’affaire Zlatan Ibrahimovic allait devenir une affaire d’Etats… Et ce quel que soit les excuses prononcées par l’attaquant du Paris Saint-Germain par la suite. En France, les politiques ne se sont d’ailleurs pas privés pour entrer dans le débat et forcément, ça a réveillé la fibre patriotique des Suédois derrière leur icône.
Comme le rapporte Le Parisien / Aujourd’hui en France, les réactions ne sont pas faites attendre dans les médias scandinaves. Ainsi, Aftonbladet a osé un : « Je suis Zlatan ! », référence au fameux slogan « Je suis Charlie » né après les attentats de Charlie Hebdo. Faisant référence aux attaques de Marine Le Pen, le tabloïd balance une réponse zlatanesque : «Je suis Zlatan et quand je fais mon boulot, Le Pen fait mieux de s'asseoir dans les gradins avec sa saucisse». Du côté de l’Expressen, on estime que « tout le monde a complètement perdu la raison », devant le caractère disproportionné de l’affaire alors qu’à la télévision suédoise on en est plutôt à se réjouir de revoir le vrai Zlatan, râleur et buteur.
Des réactions qui n’ont toutefois pas fait sourciller la Fédération suédoise, laquelle a choisi de ne pas réagir, faisant simplement savoir que ce n’était pas son rôle de commenter une affaire touchant les clubs.
On pouvait s’en douter au moment de son coup de colère contre les arbitres à Bordeaux : l’affaire Zlatan Ibrahimovic allait devenir une affaire d’Etats…
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