par La rédaction

PSG : Ménez et Pastore, «des enfants gâtés» pour Pascal Praud

Habitué aux envolées lyriques, Pascal Praud s’est enflammé au moment de revenir sur la défaite du Paris Saint-Germain à Benfica (1-2).

Dans l’œil du journaliste de I-Télé et de RTL, deux joueurs : les mêmes que tous les consultants critiquent.

« Javier Pastore et Jérémy Menez symbolisent le talent sans la sueur, le don sans l’envie, la facilité sans la volonté. Je ne dis pas qu’ils n’en font pas assez, qu’ils manquent de désir ou qu’ils prennent les matches par-dessus la jambe. Je dis que leur comportement donne cette impression. Il se dégage d’eux une nonchalance que rien ne semble atteindre. Les paroles de Pastore échangées sur le terrain avec Astrid Bard à l’issue du match reflètent cet état d’esprit: « je suis tranquille et content » a-t-il déclaré. Cette indolence passe mal. Elle contraste avec la faim de loup de Zlatan Ibrahimovic, blessé après un revers à Evian, qui marque deux buts trois jours plus tard contre Sochaux, histoire de remettre les pendules à l’heure. Le foot se joue dans la tête. Il réclame un mental d’acier. Menez et Pastore traversent la vie comme des enfants gâtés. A eux de grandir. Il n’est jamais trop tard. »

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Habitué aux envolées lyriques, Pascal Praud s’est enflammé au moment de revenir sur la défaite du Paris Saint-Germain à Benfica (1-2).

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