À mesure que les rumeurs de tensions entre l'entraîneur du PSG Laurent Blanc et son vestiaire fleurissaient en début de semaine, certains observateurs en sont venus à se demander si le départ de Claude Makelele, parti entraîner le SC Bastia, n'avait pas privé le club de la capitale d'un rouage essentiel de son staff.
L'ancien milieu de terrain servait en effet de tampon entre l'effectif Bleu et Rouge et le coach parisien.
Dans un article publié sur le site Goal, le journaliste italien Simone Rovera, qui se targue d'être en contact avec plusieurs membres du vestiaire du PSG, assure que le rôle de Makelele n'était pas si essentiel qu'on veut le faire croire aujourd'hui.
"Son départ a laissé un vide dans le vestiaire, mais peut-être pas un vide si grand pour tout le monde. C'est vrai qu'il était important, qu'il connaissait bien le foot et les joueurs, mais ce n'était pas un leader du vestiaire. (...) De ce qui filtre de chez plusieurs joueurs ces derniers jours, c'est que la présence de Makelele n'était pas indispensable pour tous, notamment pour les étrangers expérimentés."
Blanc n'aurait donc aucunement besoin de l'ancien milieu défensif pour asseoir son autorité. À lui de le démontrer en mettant son équipe sur la voie du succès demain après-midi à Toulouse (8e journée de Ligue 1).
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À mesure que les rumeurs de tensions entre l'entraîneur du PSG Laurent Blanc et son vestiaire fleurissaient en début de semaine, certains observateurs en sont venus à se demander si le départ de Claude Makelele, parti entraîner le SC Bastia, n'avait pas privé le club de la capitale d'un rouage essentiel de son staff.
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