Au mois de février dernier, l'ASSE avait été condamnée par le conseil des Prud'hommes de Saint-Étienne à verser près de 900 000 euros (606 000 euros de salaires impayés, ainsi que 303 000 euros en raison du préjudice moral) à son ancien attaquant Boubacar Sanogo.
Au mois de février dernier, l'ASSE avait été condamnée par le conseil des Prud'hommes de Saint-Étienne à verser près de 900 000 euros (606 000 euros de salaires impayés, ainsi que 303 000 euros en raison du préjudice moral) à son ancien attaquant Boubacar Sanogo. Celui-ci contestait les conditions de sa mise à lécart et de son licenciement en 2011.
L'international ivoirien avait fait appel, réclamant plus de 4 millions d'euros d'indemnités, mais cela ne lui a pas réussi : la Cour d'appel de Lyon a confirmé ce lundi le versement des salaires impayés mais ramené l'indemnité réclamée au club stéphanois au nom du préjudice moral à 50 000 euros (au lieu, donc, de 303 000). Soit une économie de près de 250 000 euros pour l'ASSE.
En février dernier, l'ASSE avait été condamnée à verser près de 900 000 euros à son ancien attaquant Boubacar Sanogo. Celui-ci avait fait appel.
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