par nicolas.breton

Taxe 75% : Le Graêt ne veut pas entendre parler de "grève"

Tout comme l'actionnaire des Girondins de Bordeaux Nicolas de Tavernost, le président de la FFF Noël Le Graët estime que l'emploi du mot "grève" pour qualifier le refus des clubs pros de jouer les rencontres prévues le dernier week-end de novembre fait davantage de tort que de bien à l'image déjà entachée du ballon rond.

Tout comme l'actionnaire des Girondins de Bordeaux Nicolas de Tavernost, le président de la FFF Noël Le Graët estime que l'emploi du mot "grève" pour qualifier le refus des clubs pros de jouer les rencontres prévues le dernier week-end de novembre fait davantage de tort que de bien à l'image déjà entachée du ballon rond.

"Utiliser le terme 'grève', dans ce cadre, est stupide. C’est un mot qui ne convient pas. On a parlé de grève des joueurs en 2010 en Afrique du Sud, on a vu ce que ça a donné pour l’image du football" , a déploré le dirigeant sur le site de Ouest-France.

Les présidents de clubs auront rendez-vous avec le président François Hollande jeudi prochain.

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Pour résumer

Tout comme l'actionnaire des Girondins de Bordeaux Nicolas de Tavernost, le président de la FFF Noël Le Graët estime que l'emploi du mot "grève" pour qualifier le refus des clubs pros de jouer les rencontres prévues le dernier week-end de novembre fait davantage de tort que de bien à l'image déjà entachée du ballon rond.

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