Le gardien de but de Manchester United David De Gea file en effet le parfait amour avec Edurne Garcia, qui sera chargée de représenter l’Espagne lors du prochain concours de l’Eurovision (le 23 mai à Vienne).
Dimanche a été mise en ligne la chanson qu’interprétera ce soir-là la jeune femme de 29 ans. Intitulé Amanecer, le morceau rappelle étrangement, selon ceux qui l’ont écouté, certains titres de Shakira, en raison notamment des intonations de voix d’Edurne. Suffisant pour certains fans de la chanteuse colombienne hurlent au plagiat.
Le genre d’affaires qui peut à tout instant faire imploser vestiaire de la Roja. Ou pas.
Cette semaine, c’est même un jeu qui a été créé en la mémoire de leur relation.”¨
Les programmateurs de jeu sont-ils devenus fous ? Alors que certains icônes comme Sonic ou Mario Bros font toujours la joie des plus acharnés de l’informatique ludique, voilà que Cristiano Ronaldo vient de faire son entrée dans ce monde très éloigné du football. Comme le rapporte le quotidien espagnol AS ce mercredi, un jeu a en effet été créé en mettant en vedette la star du Real Madrid sur un ring de catch !
Cristiano Ronaldo prend une correction de The Rock ?
Sur la séquence qu’on peut voir chez nos confrères ibériques, on peut ainsi voir Cristiano Ronaldo, dans sa tenue classique de footballeur, venir combattre The Rock (prétendument nouveau petit ami d’Irina Shayk) pour savoir qui serait le seul et unique prétendant du mannequin russe. Ancien catcheur, le colossal acteur américain semble infliger une légère correction au pourtant musculeux Madrilène. La vraie question n’est finalement pas celle de savoir qui a gagné quoi mais juste de savoir jusqu’où ira toute cette histoire ?
La jeune femme est également une supportrice inconditionnelle du Borussia Dortmund. Au cours d’un concert qu’elle donnait il y a quelques jours à Munich, devant un par-terre d’admirateurs qu’on imagine, pour la plupart, fans du Bayern, Helene n’a pas hésité à se saisir d’une écharpe à l’effigie du club de la Ruhr qu’un membre de la foule lui avait tendue. Résultat, une belle bronca mais une popularité sans doute en hausse chez les supporters de Marco Reus et Pierre-Emerick Aubameyang…
En Italie il en est un qui, depuis mi-1990, traverse les décennies en 10 ou en 6 tel un métronome sans que l’âge ne dépeigne sur le talent.
De ses premiers pas à Brescia, en mai 1995, à ce jour sous les couleurs de la Juventus, Andrea Pirlo fait rêver toutes les générations de tifosi et les passionnés de ballon rond.
D’Andrea, on connaît le joueur mais un peu moins l’homme. J’ai eu l’immense privilège de le rencontrer une fois, en 2008 ! Sous ses airs réservés, L’architetto s’est présenté ainsi pour le site FIFA.com : « J’aime bien chambrer, rigoler et me divertir. Les personnes qui ne me connaissent pas ou peu peuvent penser différemment. Soit elles n’ont pas encore appris à me connaître, soit je n’accorde pas forcément ma confiance. » Cette subtilité La Vecchia Signora l’a comprise.
Depuis, le club du Directeur Sportif Giuseppe Marotta en joue sur sa chaîne YouTube”¦ Dans ce sujet, je reviendrai sur trois des caractéristiques qui font du champion du monde 2006 un joueur hors norme sur et en dehors des terrains.
Pirlo au service du sponsor du club (Août 2013 – 134 000 vues)Dans le cadre de la Tournée estivale de la Juventus en août 2013, aux Etats-Unis, le sponsor officiel des Bianconeri a utilisé l’image de deux Turinois pour promouvoir sa marque, Jeep.
Dans une vidéo de 2’03 », Alessandro Matri et Pirlo sont Ambassadeurs le temps d’une soirée. Se succèdent d’abord des images de la ville de Miami, des Jeeps et une expérience de groupe avec d’autres coéquipiers racontée par l’ancien Milanais. Tout est mis en scène pour faire parler de la marque.
Place au spectacle : un lieu bondé, deux joueurs disponibles pour une foule venue acclamer ses deux champions, des adultes mais surtout des femmes, des enfants, des femmes et des enfants en larmes ! Chaque détail a son importance. Jeep s’associe à l’émotion que suscite cette rencontre entre des tifosi émerveillés et des joueurs si proches de leurs fans”¦ Quand d’habitude ils paraissent moins accessibles.
Pirlo au service de l’équipe (Février 2014 – 690 000 vues)L’entente entre deux joueurs ne naît pas sur le terrain, elle se travaille à l’entraînement. C’est le message de la Juventus, passé de façon humoristique, pour expliquer la relation entre Pirlo, maître penseur, et Stephan Lichtsteiner, finisseur.
Pendant 1’22 », les deux Bianconeri sont fusionnels. Tout ce que l’International suisse demande, l’international italien le lui donne. Andrea s’exécute à chaque fois que Stephan lui demande à boire, le fromage, le poivre, l’eau et les clés de la voiture !
Andrea est moins commercial, beaucoup plus professionnel. Sous un air détaché, on le devine acharné à l’entraînement, bosseur, n’hésitant pas à répéter chacun de ses gestes pour ne rien laisser au hasard”¦ Il sait mieux que quiconque, lui qui a notamment appris du Maestro Roby Baggio, que les succès de demain se construisent jour après jour.
Pirlo en solo”¦ mais au service de l’équipe (Décembre 2014 – 220 000 vues)Dans cette dernière vidéo, la Juve a rebondi sur un fait d’actualité : le splendide but de Pirlo dans le Derby della Molle, à quelques secondes de la fin du match.
L’Italien se prend totalement en auto-dérision”¦ De prime abord, il donne le sentiment d’être très calme en toute circonstance ! C’est ainsi qu’il se présente pendant 1’10 » quand il s’agit d’aller à l’entraînement, en conférence de presse et même”¦ en match avec ce fameux ‘Calma, calma‘ qui revient perpétuellement.
Devant leur écran, les tifosi bianconeri sont anxieux, la Juventus et le Torino se dirigent vers un nul. C’est le moment que choisit Pirlo pour apparaître soudainement et leur demander le temps restant. Quand il entend 4 secondes, il propose à ses supporters de rester ‘calma, calma‘ puis délivre tout un peuple d’une frappe du droit de plus de 25 mètres.
La Juventus et Pirlo travaillent main dans la main, l’intérêt de l’un servant celui de l’autre. La Vieille Dame profite de l’aura d’un joueur que chaque entraîneur souhaiterait posséder dans son équipe, même à 35 ans.
A travers ces campagnes, on voit trois registres dans lequel Pirlo excelle. Ces choix sont subjectifs et j’aurais autant pu vous parler du fameux #PirloIsNotImpressed (plus d’un million de vues), de sa découverte du football américain avec Leonardo Bonucci chez les Cardinal de Stanford, de ses interventions pour le Nouvel An Chinois ou à Halloween et bien d’autres vidéos encore.
Chaque mardi, nous vous donnons rendez-vous à 14h avec la rubrique DigiFoot. Pour réagir à ces articles, vous pouvez mentionner le hashtag #DigiFoot sur Twitter.
Article réalisé par Valéry Brancaleoni (@vfbrancaleoni).
Les deux milieux de terrain discutent à bâtons rompus, en anglais et en italien, sur leurs carrières respectives et leurs goûts.
L’occasion pour les deux hommes de confronter leurs pronostics”¦ Et si l’Espagnol donne son club vainqueur (2-1), Verratti parvient à le désarçonner : « Qui va gagner ? Chelsea. Nous les Italiens, nous sommes très superstitieux donc avant un match, on préfère dire que l’adversaire va gagner. Je pense que vous allez nous battre 4-0. »
Regardez la vidéo (l’explication de Verratti après 1:55) :
L’international suédois vient de donner, sur son application Zlatan Unplugged, la raison de ce geste.
Chacun de ces quinze noms représentait une personne souffrant de la famine dans le monde. Il y en a 805 millions en tout. L’opération a été réalisée en partenariat avec le Programme alimentaire mondial, l’organisme d’aide alimentaire de l’ONU. ‘Tout le monde demande des autographes à Zlatan, a commenté le Suédois. Là , c’est Zlatan qui en a demandé aux enfants. J’ai 15 noms sur mon corps. Je ne suis pas assez grand pour écrire les 805 millions.’
Un beau geste qui rend encore plus absurde le carton jaune infligé à Ibrahimovic par l’arbitre de la rencontre M. Schneider, qui ne faisait qu’appliquer une règle dont l’utilité nous échappe toujours…
Cette semaine, l'ailier des Bleus s'est pointé à l'entraà®nement de l'Atlético Madrid coiffé avec une iroquoise blonde qui n'est pas sans rappeler celle de son ami Paul Pogba. Certains de ses coéquipiers – Diego Godin et Mario Mandzukic en tàªte – ne se sont pas privés pour le chambrer :
Une nouvelle séquence illustrée a été sortie du chapeau…
Jorge Mendes a fait savoir que Cristiano Ronaldo était arrivé « complètement détruit à sa fàªte d'anniversaire et que tout le monde avait passé son temps à le consoler ». A la vue de cette dernière séquence, il est quelque peu permis d'en douter. Sur celle-ci, on peut en effet voir l'attaquant du Real Madrid danser sur la piste en compagnie de son ami Kevin Roldà¡n avec un petit verre qu'on imagine alcoolisé à la main. Si c’est le cas, il en avait parfaitement le droit mais pourquoi ne l’avoir tout simplement dit dès le départ ?
La presse catalane s'est d'ailleurs étonnée que ce soit le Brésilien et non l'habituel tireur Lionel Messi qui se soit élancé alors que les deux hommes étaient sur le pré. « Normalement, le tireur, c'est Leo Messi et son second, c'est Neymar. Je l'ai décidé comme à§a. Après, j'ai aussi été joueur et j'estime qu'il est très important qu'ils se parlent et se disent s'ils se sentent d'y aller. En tout cas, notre tireur n°1, c'est Léo », a confirmé Luis Enrique à l'issue de la rencontre.
Les ralentis confirment les propos du coach du Barà§a, Messi ayant cherché à faire un cadeau à son fidèle lieutenant en lui accordant la faveur de ce tir. Si l’Argentin l’a plutôt regretté puisque le portier adverse Asenjo a repoussé la tentative de Neymar, sa réaction très sobre et sans une once de colère l’honore.
Comme en championnat, le match face au sous-marin jaune a donné lieu à une rencontre enlevée et une victoire du géant blaugrana (3-1).
Concrétisant la domination de son équipe, c'est d'abord Lionel Messi qui ouvre la marque en profitant d'une offrande de Luis Suarez (1-0, 42e) mais Villarreal, dangereux en contre, revient au score au début du second acte sur un missile des 25 mètres de Trigueros qui transperce un Ter Stegen pas exempt de tout reproche (1-1, 48e). Ne relâchant pas son étreinte, le Barà§a reprend l'avantage dans la foulée sur une action sublime entre Luis Suarez et Andres Iniesta ponctuée par le second nommé (2-1, 49e). Sur corner, Gérard Piqué donne de l'ampleur au score (3-1, 64e). Le score aurait màªme pu àªtre plus ample si Asenjo n’avait pas stoppé un penalty de Neymar.
Le FC Barcelone a déjà un pied en finale de la compétition”¦
Selon Ekstra Bladet, l'OL et le LOSC feraient partie de la vingtaine de clubs à avoir envoyé des émissaires superviser le milieu offensif danois Pione Sisto (Midtjylland, 20 ans) mais qui est vraiment cette « pépite » que des clubs comme le FC Porto, Naples ou la Juventus de Turin suivent aussi du coin de l'Å“il. Présentation.
Les Gones et les Dogues auraient flashé sur un joueur pour le moins atypique. En effet, s'il a récemment choisi de porter les couleurs du Danemark, Pione Sisto Ifolo Emirmija (de son nom complet) est né au Sud Soudan. Un pays qu'il a quitté avec ses parents à l'âge de deux mois pour rejoindre la Scandinavie.
Formé dans les écoles de football du modeste club de Tjà¸rring, il a rejoint le centre de formation de Midtjylland durant son adolescence. Milieu offensif droit capable d'évoluer aussi bien à la pointe de l'attaque qu'à gauche, le petit (1m71) mais technique ailier a rapidement fait son trou en équipe première.
Midtjylland a déjà refusé 2 M€ pour sa pépite
Lancé dans le grand bain alors qu'il n'avait que 17 ans dans un choc face au FC Copenhague en novembre 2012 (défaite 2-1), Sisto est devenu titulaire dans son club dès la saison suivante, apparaissant à 29 reprises pour neuf réalisations. Des prestations qui lui avait déjà valu d'attiser l'intéràªt de nombreuses formations dont l'OM et le Red Bull Salzburg, club qui n'avait d'ailleurs formulé une offre de 2 M€ l'été dernier pour s'attacher ses services.
Finalement resté en Super Ligaen (D1 danoise), le joueur a pris une nouvelle dimension cette saison. Auteur de 7 buts en 18 matches toutes compétitions confondues avec son club, leader du championnat, Sisto a été élu « joueur de l'année 2014 » au Danemark, pays où il a obtenu la citoyenneté définitive en décembre dernier.
Une drôle de danse pour fàªter sa sélection avec le Danemark
Courtisé par la sélection d'Ouganda, celui qui est comparé son coach à la star de Tottenham Christian Eriksen a fait le choix de son pays d'adoption dans la foul锦 Pour le plus grand bonheur de ses parents qui ont eu une curieuse faà§on de le montrer en conférence de presse :
Pour son premier match non officiel avec la sélection du Danemark U21 face au Dinamo Bucarest (victoire 7-1), il a d'ailleurs inscrit un triplé. Sisto est sous contrat avec son club jusqu'en juin 2018 et Transfermarkt estime ses services à 700 000€. Une somme sans doute assez loin de la réalité compte-tenu de ses nombreux courtisans.
La grosse info : Reus prolonge au Borussia Dortmund
Alors que son nom circulait dans des grands clubs comme le Bayern Munich, le Real Madrid, le PSG ou le FC Barcelone, Marco Reus a prolongé son contrat au Borussia Dortmund.
Après avoir été débouté au conseil des prud’hommes dans le litige qui l’oppose à l’Olympique Lyonnais, Claude Puel a perdu une nouvelle bataille judiciaire ce mardi devant la chambre sociale de la cour d’appel de Lyon.
L’image du jour : banderole anti-CR7 au Real Madrid
Certains supporters ont attendu les joueurs du Real Madrid lundi à l’entrée du centre d’entraînement avec une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Vuestra risa, nuestra Verguenza. » Une formule qu’on pourrait traduire par : « Cela vous fait rire, cela nous fait honte. »
LOSC : un joueur déjà ciblé au Mercato d’étéS’il s’est montré discret cet hiver sur le marché des transferts, le LOSC s’activerait déjà pour l’été prochain.
ASSE : Les supporters des Verts priés de rester chez eux
Le Tribunal Administratif de Paris, qui a étudié le recours des dirigeants de l’ASSE, a décidé de repousser cette demande. Pas de tribunes sécurisées, pas de supporters adverses.
De la màªme faà§on qu’en France, l’émission J+1 divulgue certaines scènes ayant échappé aux caméras de télévision durant les rencontres du weekend, la télévision espagnole a ressorti lundi soir une scène insolite s’étant déroulée deux jours plus tôt lors de la défaite cuisante du Real Madrid sur la pelouse de l’Atlético (4-0) pour le compte de la 22e journée de Liga.
On y voit l’un des ramasseurs de balle du stade Vicente-Calderon faire mine de rendre le ballon à l’attaquant merengue Cristiano Ronaldo avant de le balancer un peu plus loin, histoire de gagner quelques secondes. L’international portugais a préféré en sourire, màªme si on sent que ce comportement l’agace au plus haut point. On peut le comprendre…
Plus sérieusement, la fàªte organisée par l’international portugais samedi soir pour son trentième anniversaire, malgré l’humiliante défaite subie quelques heures plus tôt en Liga sur la pelouse de l’Atlético (4-0), n’en finit plus d’agacer les supporters merengue.
Certains d’entre eux ont màªme attendu les joueurs lundi à l’entrée du centre d’entraà®nement de Valdebebas avec une banderole sur laquelle on pouvait lire : ‘Vuestra risa, nuestra Verguenza.’ Une formule qu’on pourrait traduire par : ‘Cela vous fait rire, cela nous fait honte.’
Apparemment, cette fàªte d’anniversaire a suffi à faire oublier aux supporters merengue, du moins certains d’entre eux, l’impressionnante première moitié de saison réalisée par Cristiano Ronaldo, sans qui le Real Madrid n’occuperait sans doute pas la première place du championnat d’Espagne à l’heure actuelle.
Il y eut d’abord Zlatan Ibrahimovic, particulièrement condescendant à l’égard d’un cameraman qui avait eu l’audace de le questionner sur ses rapports avec son compère de l’attaque parisienne Edinson Cavani vendredi dernier. Samedi soir, après la rouste infligée par l’Atéltico Madrid au Real (4-0), ce fut au tour de l’ailier merengue Cristiano Ronaldo de tailler en pièce un journaliste de TV3 s’étant permis d’évoquer le carton rouge reà§u par le Portugais il y a deux semaines à Cordoue.
Deux réponses différentes, mais une volonté commune de fuir la question qui fâche et, pire encore, d’humilier publiquement le pauvre bonhomme qui ne faisait que son boulot en la posant. Heureusement qu’un ministre n’en fait pas autant chaque fois qu’il doit rendre des comptes sur une loi ou un investissement public, sujets autrement plus cruciaux qu’un carton rouge…
Des stars qui ont tout et qu’un rien agace
Comprenons-nous, cet article ne répond à aucun réflexe corporatiste, pas plus qu’il ne voudrait transformer les journalistes sportifs en chevaliers Bayard de la liberté de la presse. Ces derniers ont màªme une part de responsabilités dans les réactions outrées de CR7 et Zlatan, tellement habitués aux questions creuses de fin de match (« Alors, vous àªtes déà§u d’avoir perdu ? », « Ce match, vous vouliez le gagner ? ») que la moindre incartade passe à leurs yeux pour une offense.
Le mépris des deux stars n’en est pas moins irritant. Ces types à qui on tient la porte depuis l’adolescence, qui s’entendent répéter à longueur de journée qu’ils sont grands, beaux et forts, qu’une cour de sponsors et d’attachés de presse lèche-bottes suit 24 heures sur 24, ces types se permettent de prendre la mouche parce qu’un journaliste a oublié de s’incliner sur leur passage. Avoir du charisme est une chose. Traiter un cameraman comme une merde en est une autre. Le charisme de Zlatan ne l’autorise pas à àªtre irrespectueux, ni à choisir les questions qu’on lui pose.
C’est leurs supporters qu’ils ignorent
Ce que l’attaquant du PSG et celui du Real Madrid ont oublié, c’est qu’en envoyant paà®tre un journaliste, c’est au visage de leurs supporters qu’ils crachent. Tous les fans du club de la capitale aimeraient connaà®tre la véritable nature des relations entre l’international suédois et Cavani, dont la complicité technique, d’abord prometteuse, s’est éteinte il y a plus d’un an. De màªme que ceux du Real peuvent légitimement s’interroger sur l’état de forme et la nervosité actuels de CR7.Et qu’on ne vienne pas dire que les réseaux sociaux ont rendu cet intermédiaire obsolète. Les comptes Twitter de Cristiano Ronaldo et Ibrahimovic alignent les platitudes (écrites, on l’imagine, par un conseiller en com’ n’ayant jamais croisé « son » joueur), noyées sous un flot de pubs pour les slips à Cristiano ou les baskets à Zlatan.
De toute faà§on, si le buteur du PSG n’est pas content qu’on l’interroge sur ses relations avec Cavani, il n’avait qu’à pas ignorer l’Uruguayen aux yeux de tous* il y a trois semaines, après que celui-ci a clos la marque contre Evian TG (4-2)…
L’arrogance pour masquer leurs mauvaises performances
À mesure que le coup de sang de CR7 défile sur l’écran nous revient l’image de ces gamins jouant les durs à cuire dans la cour d’école et faisant payer au maigrelet de la classe leur défaite cuisante au tournoi de billes de la récré. Depuis plusieurs semaines, Cristiano Ronaldo et Zlatan Ibrahimovic enchaà®nent les prestations médiocres. Au fond, leurs coups de sang, ce n’est que à§a : une ruade de cheval blessé, une forfanterie puérile censée masquer leurs difficultés actuelles.
La prochaine fois que l’un des deux hommes fera une sortie de ce genre, espérons – mais on n’y croit guère – que les journalistes présents auront le courage d’éteindre leurs micros et de le laisser en plan…
JD
* Buteur sur un service du Suédois, Cavani était allé lui taper sur l’épaule avant l’engagement savoyard. Ibra ne s’était màªme pas retourné…
Il n’empàªche, c’est une erreur du portier merengue Iker Casillas qui a permis aux hommes de Diego Simeone d’ouvrir le score.
Perfectionniste avec lui-màªme, l’ailier merengue Cristiano Ronaldo l’est également avec les autres. Il suffit pour s’en convaincre de jeter un Å“il à la réaction de l’international portugais après l’erreur de son portier. Désabusé, CR7 ne cherche màªme pas à dissimuler sa colère contre son gardien.
Pour les Africains de L1, à§a n'aura pas été un très grand cru. Voici ce que « But ! Football Club » retient malgré tout retenir.
Le top 3 L1 de la CAN :
1. André Ayew (OM, GHA)
Si ses Black Stars ont une nouvelle fois échoué cruellement en finale de la compétition (0-0, 8-9 aux tab), le Marseillais n'a pas grand-chose à se reprocher. Capitaine de son équipe, co-meilleur buteur de la compétition, auteur d'une passe décisive en quart de finale, le fils d'Abédi Pelé aura été omniprésent.
2. Max-Alain Gradel (ASSE, CIV)
Deux buts face au Mali et au Cameroun pour extirper son équipe de l'une des deux poules de la mort et une passe décisive en quart de finale face à l'Algérie ont fait que « Mad Max » a réussi sa compétition. Sur les deux derniers matches, face à la RDC et au Ghana, on l'a cependant beaucoup moins vu. Champion d'Afrique quand màªme !
3. Serge Aurier (PSG, CIV)
Pour sa première CAN, le Parisien rentre dans la Capitale avec le trophée”¦ Et le moins que l'on puisse dire, c'est que Serge Aurier n'aura pas ménagé ses efforts, multipliant les courses et les centres. En demi-finale, il est màªme passé tout proche de marquer de la tàªte sur corner.
Le flop 3 L1 de la CAN :
1. Bakary Koné (OL, BUR)
Dans l'équipe-type de l'édition 2013, le « Général Bako » a été à l'image de son équipe : finaliste il y a deux ans et ridicule cette année dans une poule « facile ». Dernier avec un nul et deux défaites, l'ancien Guingampais ne méritait pas mieux qu'un retour prématuré dans la Capitale des Gaules.
2. Papy Djilobodji (FC Nantes, SEN)
S'il était placé dans une poule relevée avec l'Afrique du Sud, le Ghana et l'Algérie, on attendait beaucoup du Sénégal de Papy Djilobodji”¦ Sans doute trop de l'un des meilleurs défenseurs de L1, sorti à la mi-temps du match remporté face au Ghana, remplaà§ant face aux Sud-africains et titulaire lors de l'ultime défaite face aux Fennecs. A côté de ses pompes.
3. Wahbi Khazri (Bordeaux, TUN)
Dans une Afrique qui a rarement été aussi pauvre en stars, on attendait beaucoup du milieu offensif bordelais. Surtout après les qualifications où il avait inscrit deux buts capitaux face au Botswana (2-1) et à l'Egypte (2-1). En Guinée Equatoriale, on n'a pas vu grand-chose de son talent, éliminé prématurément et injustement en quart de finale.
Le top 3 des clubs de L1 les plus « Yes we CAN » :
1. ASSE : Avec la blessure de Florentin Pogba (Guinée) et la présence jusqu'en finale de Max-Alain Gradel et Ismaël Diomandé (Côte d'Ivoire), les Verts auront payé un lourd tribut dans cette compétition. Malgré tout, on n'a pas entendu Christophe Galtier ou ses dirigeants se plaindre. Fair-play.
2. ETG : A la lutte pour son maintien en L1, le club haut-savoyard a vu son socle défensif décimé jusqu'aux derniers instants de la compétition avec les absences de Jonathan Mensah (finaliste avec le Ghana) et Cédric Mongongu (3e avec la RD Congo).
3. OM : La CAN a coûté aussi quelques points à Marseille avec les absences d'André Ayew (Ghana) et Nicolas Nkoulou (éliminé en phase de groupe avec le Cameroun), deux pièces maà®tresses de l'équipe-type de Marcelo Bielsa.
Le top 3 des clubs de L1 les plus « No we CAN't » :
1. RC Lens : Seul club de Ligue 1 non représenté dans la compétition, le Racing a mis la pression sur son unique joueur sélectionnable (Touzghar) pour que celui-ci n'aille pas en Guinée Equatoriale. Pas cool.
2. LOSC : quatre joueurs en lice (Mendes, Diaby, Souaré, Gueye) et aucun présent au-delà de la phase de groupe. Comme en L1, les Dogues manquent de mordant”¦ Et de chance.
3. MHSC : S'il n'avait que deux joueurs présents en Guinée Equatoriale (Saihi, Tiéné), Louis Nicollin a trouvé le moyen de dénigrer la compétition. Pas cool (bis).
Meilleur buteur L1 de la CAN : André Ayew (OM, GHA), 3 buts
Meilleur entraà®neur franà§ais de la CAN : Hervé Renard (CIV)
Sur 16 équipes, ils étaient six en lice. Deux sont tombés en phase de groupe (Giresse pour le Sénégal et Kasperczak pour le Mali), trois ont chuté en quarts de finale (Gourcuff pour l'Algérie, Le Roy pour le Congo et Dussuyer pour la Guinée). Vainqueur par KO généralisé dès le dernier carré : Hervé Renard, qui s'est offert le luxe de remporter une deuxième CAN en trois ans après celle glanée avec la Zambie en 2012.
L'équipe L1 de la CAN 2015 :
Soyons honnàªtes : à quelques exceptions près, c'est davantage une équipe-type par défaut qui se dégage pour la Ligue 1 suite à l'édition de la CAN en Guinée Equatoriale. Non seulement le championnat de France était moins représenté que par le passé mais en plus, la majorité de ses membres a sauté avant le dernier carré de la compétition.
Anthony Mfa (FC Metz) : Sans concurrence en l'absence de Vincent Enyeama (LOSC, Nigéria), le Gabonais remporte la catégorie sans lutter màªme si son équipe a été éliminée au premier tour et qu'il n'a pas joué un seul match.
Serge Aurier (PSG) : Pour la L1, c'était sans doute le poste le plus concurrentiel mais le latéral droit du PSG a surclassé la concurrence. Bon défensivement et toujours aussi précieux offensivement.
Cédric Mongongu (ETG) : S'il a un peu décliné au moment de la phase à élimination directe ratant notamment la demi-finale (choix de l'entraà®neur), le stoppeur d'Evian a réalisé une très solide phase de poule.
Jonathan Mensah (ETG) : Finaliste malheureux, le stoppeur de l'ETG et du Ghana aura joué toutes les rencontres dans leur intégralité. Solide, son équipe n'a encaissé que trois buts durant toute la compétition.
Aà¯ssa Mandi (Stade de Reims) : Titulaire au sein d'une sélection algérienne stoppée par la Côte d'Ivoire en quart de finale, le polyvalent Rémois gagne sa place du fait de la carence de milieux de terrain compétitifs et au passage de Siaka Tiéné dans un rôle plus avancé.
Ferjani Sassi (FC Metz) : S'il a commencé la compétition sur le banc, le néo-Messin s'est imposé dans l'entrejeu d'une Tunisie stoppée injustement en quart de finale par un arbitre mauricien. A découvrir en L1.
Prince Oniangué (Stade de Reims) : Capitaine d'une surprenante équipe du Congo Brazzaville qui s'est hissée en quart de finale, le box-to-box champenois a marqué l'histoire de son pays en lui offrant, face au Gabon, sa première victoire lors d'une phase finale de la CAN depuis 41 ans. Rien que pour à§a, l'ancien Tourangeau a du mérite.
Siaka Tiéné (MHSC) : Chez les Eléphants, le Montpelliérain fait figure de mammouth. L'un des derniers survivants de la génération Drogba qui remporte enfin une CAN. A créditer d'une belle compétition au poste de milieu gauche.
Max-Alain Gradel (ASSE) : Héroà¯que en phase de poule où il a qualifié son pays par ses buts, le Stéphanois a été beaucoup moins en vue en demi-finale et en finale. L'ensemble est malgré tout satisfaisant et son but, face au Cameroun, figurera parmi les plus beaux de la compétition.
Jordan Ayew (FC Lorient) : Avec Yattara (Guinée) et Maà¯ga (Mali), il est le seul avant-centre de L1 à avoir marqué un but durant cette Coupe d'Afrique. S'il n'a pas été rayonnant et qu'Avram Grant en a fait un joker en fin de compétition, le Merlu gagne par défaut.
André Ayew (OM) : Que dire de plus des prestations du Marseillais qui, pour « But ! Football Club », a tout simplement été le meilleur joueur estampillé Ligue 1 de la compétition”¦
Le weekend passé, après la victoire face à Rennes (1-0), l’international suédois s’en était pris à un cameraman qui l’interrogeait sur ses relations avec Edinson Cavani. Mardi soir, après la qualification des hommes de Laurent Blanc pour la finale de la Coupe de la Ligue à Lille (1-0), c’est l’ensemble de l’effectif parisien qui, sur ordre de son leader, s’était tu devant les micros.
Et hier soir, donc, dans les coursives de Gerland, Zlatan a envoyé bouler un journaliste qui lui demandait ce que son premier but en championnat depuis deux mois lui inspirait. Très au fait de ses propres performances, le joueur de 33 ans a rappelé à son interlocuteur que c’était déjà lui qui avait offert la victoire à son équipe il y a deux semaines à Saint-à‰tienne !
Mais le plus beau geste de la soirée a peut-àªtre été réalisé juste avant le coup d’envoi. Alors que les deux équipes pénétraient sur la pelouse, Thiago Silva s’est rendu compte que le garà§onnet à qui il tenait la main grelottait de froid. Ni une ni deux, le défenseur et capitaine du club de la capitale lui a passé sa veste de survàªtement sur les épaules. Plutôt gentil, ce ‘monstre’…
En effet, l'attaquant du Real Madrid a fàªté ses 30 ans dans la foulée du match en compagnie de plusieurs de ses partenaires comme James Rodriguez ou encore Marcelo.
Pour animer la soirée, CR7 avait d'ailleurs fait appel à l'artiste colombien Kevin Roldan, dont il est un grand fan”¦ Et avec qui il a eu l'occasion de chanter. Problème : l'intéressé n'est pas particulièrement discret et s'est empressé de partager l'instant sur les réseaux sociaux.
Les deux autres chansons de CR7
Ce n'est pas la première fois que Cristiano Ronaldo pousse la chansonnette en public. En 2012, l'intéressé avait màªme évoqué cette passion dans un spot promotionnel pour Nike : « La musique fait partie de moi. Et les personnes qui m'entourent. Sans la musique, notre vie serait moins agréable. J'adore la musique. C'est pourquoi il est vraiment difficile de joueur d'un instrument et de chanter ici”¦ vraiment très difficile. Jouer au foot est bien plus facile. »
Entre 2010 et 2014, Cristiano Ronaldo a beaucoup progressé. En effet, pour sa première publique en tant que chanteur, il s'était laisser aller à chanter « Amor mio » pour le compte de la banque portugaise BES. Comme l'atteste le « making of » de l'époque, ce n'était pas franchement une réussite”¦
