L’entraîneur du FC Nantes Vahid Halilhodzic, avant la reprise de la compétition en 2019 avec le FC Nantes, s’est livré sur ses attentes pour les mois à venir.
Interrogé sur ce point précis par Presse Océan, Halilhodzic a été moyennement rassurant : « Ah, ça, c’est… Vous voyez là-bas (il montre un dessin humoristique du président Kita où figurent les portraits des nombreux entraîneurs sous sa coupe, ndlr). Bientôt, il y aura ma tête là aussi, non ? Vous savez, le destin d’un entraîneur, c’est terrible, a-t-il soufflé. J’ai été écarté deux fois juste avant une Coupe du monde. J’ai vécu des moments très difficiles après ça. À vrai dire, plus rien ne me surprend dans le métier d’entraîneur… Aujourd’hui, tout est possible. C’est le business et l’argent qui décident. Pour Nantes, j’ai fait un gros effort, comme jamais. J’ai refusé de grosses propositions venant de la Chine. Moralement, j’ai senti qu’il fallait que je donne un coup de main. C’est pour ça que je dis que je peux partir demain (au niveau financier, ndlr). Je n’ai pas besoin de ça. »
Âgé de 66 ans, coach Vahid se donne encore quatre ans pour exercer sur un banc de touche, quel qu’il soit : « Normalement, jusqu’à 70 ans. Là, il faut arrêter, se consacrer à la famille qui a subi mon absence. Ce que je ferai dans 10 ans ? Je ne sais pas. Ma femme aimerait voyager. Au Japon, on a beaucoup visité. Plus qu’en France ! J’habiterai un peu en Bosnie, un peu en France. Car mes enfants habitent Paris. »
JP
L’entraîneur du FC Nantes Vahid Halilhodzic, avant la reprise en 2019 avec le FC Nantes, s’est livré sur ses attentes pour la nouvelle année.
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