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Non pas le Bayern actuel mais celui de 1999, qui s’était incliné face à Manchester United en finale de la Ligue des Champions en encaissant deux buts au cours des arràªts de jeu. Pareil scénario s’est en effet répété face à l’OL (2-1), conduisant le FCGB à sa 10e défaite de la saison. Sur son blog, le consultant de Canal+ Pierre Ménès a estimé que ce revers revàªtait une forme de justice, la formation entraà®née par Francis Gillot ayant passé les trois quarts de la rencontre à tenter de préserver son avantage.
‘Cette équipe bordelaise est vraiment désespérante. Pourtant, les hommes de Gillot ont livré un bon premier quart d’heure, en profitant du choix bizarre de Garde de jouer avec cinq défenseurs. (…) Mais màªme s’ils ont sorti un vilain match, les Lyonnais ont au moins le mérite d’avoir essayé de faire quelque chose, alors que Bordeaux s’est contenté de gérer son but d’avance en espérant que à§a suffirait. à‡a a suffi jusqu’au temps additionnel.
Un coup de boutoir du très méritant Bedimo et un superbe but de la tàªte du jeune Tolisso sur un centre parfait de Gonalons ont offert à l’OL une victoire inespérée. Inespérée mais pas imméritée. Car màªme s’il leur manque des joueurs, màªme s’ils sont fatigués par l’accumulation des matchs, les Gones essaient encore et toujours de faire du jeu et d’attaquer. Tout le monde a le droit de rater son match. Mais refuser de jouer comme Bordeaux l’a encore fait hier soir, c’est insupportable. Quelque part, que les Girondins soient punis est assez ‘moral’.’
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