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Lui qui a cru un moment que sa carrière pourrait s’achever prématurément en raison d’une pubalgie chronique savoure chaque seconde passée sur le terrain. “Il y a toujours des choses positives màªme dans les moments compliqués, a-t-il confié dans l’émission “Culture Club” sur OLTV. Je ne vais retenir que cela. à‡a a été une période délicate mais j'ai pu m'en sortir. J'ai de l'expérience pour gérer ces situations. La patience n'est pas ma qualité première donc j'ai appris. Quand on n'est pas sur les terrains, c'est compliqué. Si demain je me retrouve dans une telle situation, je l'a gérerai d'une autre manière. J'ai eu du mal à me fixer des objectifs. J'ai écouté mon corps et les douleurs. J'ai eu des rechutes. Je n'avais plus envie de m'en fixer. Puisqu'on prend des coups derrière la tàªte. C'était au jour le jour.”
“On a l'habitude de se fixer des objectifs forts”
Maintenant qu’il est de nouveau apte, Grenier fait preuve d’une ambition débordante, pour lui comme pour son club : “Il reste 5 matchs. Si on veut titiller le PSG jusqu'au bout, il va falloir prendre le maximum de points. Quand on discute, on regarde rarement vers le bas. C'est notre mentalité. On a l'habitude de se fixer des objectifs forts et des objectifs personnels màªme si ce serait égoà¯ste de penser à moi au vu de tout ce que les autres ont fait depuis le début de la saison. Je vais essayer de faire le maximum pour les potes qui sont sur le terrain et qui font le boulot”¦Je suis très exigeant avec moi-màªme. Il faut àªtre honnàªte et il va falloir du temps pour retrouver mon niveau. Ce sont des matchs moyens plus pour le moment… J'espère àªtre titulaire. Le coach fait des choix. Je n'aime pas àªtre sur le banc, comme la plupart des joueurs. Il faut se battre chaque jour à l'entraà®nement. à‡a a toujours été comme à§a. à‡a fait partie de mes objectifs”.
