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« N’oublions pas que si nous sommes en Coupe d’Europe, c’est parce que Cheick nous met deux buts à Saint-Etienne. Il ne faut pas brûler ce que l’on a aimé il y a trois quatre mois» , a expliqué l'entraà®neur des Girondins dans Sud-Ouest, prenant fait et cause pour son longiligne buteur malien : « On sent le public un peu réticent quand il touche le ballon. C’est ennuyeux, parce que à§a ne le met pas en confiance. Pourtant, il est présent dans le combat. »
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