Girondins : un investisseur étranger débarque, la date du rachat fixée ?
Les Girondins de Bordeaux continuent d’être dans le flou au sujet de leur avenir mais les repreneurs semblent se bousculer au portillon pour succéder à King Street.
Les Girondins de Bordeaux continuent d’être dans le flou au sujet de leur avenir mais les repreneurs semblent se bousculer au portillon pour succéder à King Street.
Les Girondins de Bordeaux doivent trouver un repreneur pour éclaircir leur situation. Le processus semble avancer dans le bon sens. Selon L’Équipe, Frédéric Longuépée aurait mandaté la banque Rothschild pour trouver d’éventuels repreneurs. À l’instant T, deux candidats au rachat ont été identifiés : Bruno Fievet et Pascal Rigo.
À l’initiative de l’homme d’affaires franco-suisse, ils se sont entretenus ce week-end pour étudier la possibilité d’un dossier commun mais il n’est pas certain que Rigo se soit montré très réceptif. Un fonds espagnol pourrait également entrer très vite dans la partie mais ce n’est pas le scénario souhaité par le maire de la ville Pierre Hurmic, qui privilégie une candidature française.
« Membres du Comité de concertation des Girondins, Alain Giresse et Jean-Didier Lange ont de nouveau été sollicités pour apporter leurs connaissances, poursuit le quotidien sportif. À défaut d’être impliqués dans la quête d’un éventuel repreneur, ils pourraient servir de caution morale pour appuyer un futur projet. »
En attendant ? La dette du FCGB va être au cœur des discussions. À quatre journées de la fin de la saison, le principal prérequis à une reprise du club se situe aussi sur le terrain : actuels 16es de L1, les Girondins seront forcément moins attractifs s’ils sont relégués... Pour préparer le mercato et le prochain passage devant la DNCG, début juillet, la fenêtre de tir idéale pour un rachat se situe entre fin mai et mi-juin.
Voici la une de L'Équipe du mardi 27 avril 2021.
— L'ÉQUIPE (@lequipe) April 27, 2021
Le journal : https://t.co/Zxd25JLFne pic.twitter.com/6iTouKJ6sQ
Les Girondins de Bordeaux continuent d’être dans le flou au sujet de leur avenir mais les repreneurs semblent se bousculer au portillon pour succéder à King Street.
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