La fin de saison s’annonce vraiment crispante.
Points positifs : – Salvatore Sirigu semble àªtre le seul Parisien à avoir gardé une régularité dans ses performances avant et après Chelsea. Inquiété sur plusieurs points chauds en début de match, le portier italien a assuré màªme s'il semble maladroit sur l'égalisation doubiste.
– Edinson Cavani aurait-il enfin pris ses marques dan l'axe ? L'attaquant uruguayen a sorti une brillante prestation, notamment en première période, d'abord avec cette belle frappe (19e) puis avec ce joli but. Réaliste, sur sa deuxième occasion, il a ainsi réalisé superbe enchaà®nement contrôle de la poitrine-reprise de volée couchée du droit (24e) pour inscrire son 16e but de la saison en Ligue 1. Trop de gourmandise toutefois sur cet autre mouvement (73e).
– L'équipe a ronronné pendant un temps mais, globalement, elle a renoué avec ce qui fait sa force cette saison : la maà®trise du jeu. Et pas seulement en terme de possession de balle, mais aussi dans l'impact physique et les intentions de jeu. Ceci dit, dans la constance, il serait temps que Zlatan Ibrahimovic revienne.
Points négatifs : – L'absence de Marco Verratti a pesé en début de match (il est entré en seconde période et n'a d'ailleurs pas été à son aise), notamment dans la relance, où les milieux parisiens ont souvent sauté les lignes. Evidemment, c'est sur l'un de ces ballons (un délice de Thiago Motta) que le PSG a ouvert la marque mais le jeu perd en qualité.
– On l'a dit, ce PSG a rassuré sur sa maà®trise collective mais pas sur 90 minutes. Après le but égalisateur du FCS, on a senti les Parisiens fébriles, plus sûrs de leur fait.
– Mis à part un raid solitaire à l'heure de jeu, Lucas Moura n'a pas marqué de points à Bonal car trop irrégulier. Après s'àªtre pris une belle soufflante d'Edison Cavani (17e), le Brésilien a également été critiqué par Laurent Blanc pour ne pas obéir à ses consignes.
– Bien partis pour semer la zizanie dans leurs couloirs, les latéraux Maxwell et Gregory Van der Wiel ont presque complètement coupé leurs efforts après l'heure de jeu. Du coup, le surnombre était difficilement possible.
– Outre Lucas, Thiago Silva, auteur du CSC (57e) mais surtout Yohan Cabaye, transparent et remplacé par Marco Verratti en seconde période, peuvent largement mieux faire.
Conclusion : Le PSG, solide en première période et fébrile par la suite, ne méritait pas de décrocher son quatrième titre de champion de France à Bonal. Ce contretemps paralyse du màªme coup plusieurs dossiers chauds : la prolongation de Laurent Blanc et le mercato…
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