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PSG : les 5 enseignements de la victoire sur l’Ajax Amsterdam (3-1)

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Suffisant pour endiguer la domination néerlandaise et faire un pas supplémentaire vers la première place du groupe F de Ligue des Champions.

Un jeu en sommeil

Tout au long de la partie, ce sont les hommes de Franck De Boer qui ont fait l’essentiel du jeu. Gàªnés par le pressing haut de leur adversaire et passablement endormis, les Bleu et Rouge ont pour leur part éprouvé les pires difficultés à relancer et à changer de rythme. En début de seconde période, le PSG a màªme semblé se contenter de regarder son adversaire faire tourner le ballon. Et a logiquement fini par le payer…

Quand Paris veut, Paris peut

Pour la huitième fois cette saison, le PSG a été rejoint alors qu’il menait 1-0. L’excuse du coup de fatigue ne tient plus après quatre mois de compétition. C’est donc la théorie du dilettantisme qui sera retenue. Ce que confirment l’absence de la moindre volonté de porter le danger sur le but néerlandais en seconde période, ainsi que l'impressionnante réaction parisienne à 1-1. Aussi rassurant et agaà§ant.

Ibrahimovic en progrès

Titularisé pour la deuxième fois d’affilée depuis son retour de blessure, Zlatan Ibrahimovic n’a pas encore trouvé sa plénitude. Quelques mauvais choix et beaucoup de hors-jeux sont venus perturber sa prestation, mais il est à l’origine de l’ouverture du score et de la meilleure occasion parisienne en première mi-temps. Il ne manquait qu’un but pour lui redonner le sourire, celui-ci est arrivé à l’entame du dernier quart d’heure.

Cavani toujours aussi décisif

Il devient de plus en plus difficile de critiquer Edinson Cavani. Non pas que l’international uruguayen affiche la moindre justesse dans le jeu. Mais avec ce doublé, El Matador en est désormais à cinq buts en cinq matches de Ligue des Champions. Il marque et rapporte des points à son équipe. C’est finalement tout ce qu’on lui demande.

Rabiot a encore du boulot

Titularisé à un poste de sentinelle habituellement réservée à Thiago Motta et Marco Verratti, Adrien Rabiot a perdu quelques ballons et parfois semblé fébrile sous la pression néerlandaise. Rien d’alarmant pour le joueur de 19 ans, mais cela montre qu’il doit encore progresser avant de revendiquer d’emblée le temps de jeu d’un titulaire.

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