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OL : les 5 raisons pour lesquelles la victoire face à Metz (2-0) est un tournant

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1. Une journée charnière bien abordée

Certes, le calendrier de la journée arrangeait franchement l'OL avec la réception d'un promu quand les autres équipes du Top 4 s'affrontaient entre elles (ASSE-PSG) ou avaient un déplacement périlleux (Nice-OM) mais encore fallait-il gagner. Les Gones l'ont fait et regarderont le choc de la 22e journée opposant deux de ses rivaux, avec une avance confortable de quatre points sur son actuel dauphin. Une marge qui va permettre d'aborder le déplacement à Monaco et la réception du PSG dans de bonnes conditions.

2. Des dynamiques plus qu'intéressantes

Depuis le derby perdu à Geoffroy-Guichard, l'Olympique Lyonnais c'est deux éliminations en Coupe mais surtout une énorme série de sept victoires consécutives en Ligue 1 dont les cinq dernières sans encaisser de buts (seul Monaco propose une défense plus imperméable en ce moment !). A Gerland, la série de victoires consécutives est portée à dix. Cela fait depuis le mois d'août que les Gones n'ont plus perdu en L1 sur leur terre. Prochaine équipe à tenter de casser la dynamique : le PSG.

3. Le tandem Lacazette – Fékir serre les dents

S'il a marqué sur penalty son 21e but en 22 matches de L1, Alexandre Lacazette est sorti sur blessure quelques minutes plus tard (34e) se plaignant des ischios. Quant à son comparse Nabil Fékir, il n'a pas eu le màªme rendement qu'habituellement. Le Franco-algérien a notamment eu une petite alerte au dos dans un duel aérien. Signe que le physique des deux attaquants stars rhodaniens commence à décliner un peu”¦ Présent en tribune de presse à Gerland, Gilles Grimandi (superviseur d'Arsenal) n'a pas trop eu l'occasion de les voir à l'oeuvre. C'est le maigre lot de consolation.

4. Cornet, première encourageante

Arrivé la semaine dernière, présenté mercredi et entré en cours de jeu (34e) dimanche, Maxwel Cornet a vécu une adaptation beaucoup plus rapide que prévu. Forcément, les automatismes avec ses nouveaux partenaires n'existant pas, l'ex-Messin a parfois eu du mal à se positionner, celui-ci souffrant également d'un manque logique de compétition. Néanmoins, l'international U19 s'est battu, se créant màªme une occasion, butant sur Johann Carrasso (43e). On l'a aussi vu tenter de bonnes choses en fin de partie. Intéressant.

5. Gonalons, Ferri, Tolisso, Ghezzal”¦ c'est l'empire du milieu

Le match de Metz a permis de se rendre compte de la montée en puissance de certains éléments. Provocant le penalty et l'exclusion de Guido Milan, Rachid Ghezzal s'est une nouvelle fois montré performant à la baguette, justifiant le choix d'Hubert Fournier de laisser Gourcuff sur le banc. On peut juste déplorer son manque d'adresse face au but. Mais le grand bonhomme du moment dans l'entrejeu, c'est incontestablement Jordan Ferri. Impressionnant dans l'abatage et qui aurait pu àªtre récompensé d'un but sur une action qu'il a lui-màªme instigué (53e). Quant au capitaine Gonalons, il a été une nouvelle fois été impeccable. Tout comme Tolisso, qui a marqué le second but d'une frappe lointaine (83e).

A.C, à Gerland.

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