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S'il veut rester en poste chez les Canaris, où il a remis de l'ordre après des premiers mois compliqués, le président polonais a tendu la perche à son successeur : son fils Franck.
« Si je passe quarante-huit heures par semaine à Nantes, c'est un maximum. J'en profite pour ajuster des questions administratives et màªme sportives. Là -bas, il y a Franck, mon fils, qui s'occupe de la gestion et qui prend de plus en plus d'importance, affirme-t-il dans le quotidien Aujourd'hui en France. L'avenir ? Un club, c'est une société et on ne décide pas de partir comme cela. Mais, si quelqu'un a plus d'argent que moi et veut acheter, pourquoi pas ? Mais il ne suffit pas de dire qu'on a envie d'acheter sans en avoir les moyens, comme on le voit ailleurs. Et puis il y a Franck qui aura peut-àªtre envie de me succéder ».
