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Une opération toujours délicate puisque la plupart des Sud-Américains appartiennent à des sociétés en plus des clubs. Il y eut ensuite le refus de Marcelo Bielsa de faire jouer un élément qu’on lui avait imposé. Refus qui se matérialisa par une conférence de presse irréelle au cours de laquelle le technicien argentin découpa son président. Il y eut enfin, en janvier, le pràªt pour six mois de Doria au Sao Paulo.
Bielsa n’en veut toujours pas, Labrune espère récupérer les 8 M€ investis”¦
Mais tel un fantôme, le cas du Brésilien va revenir hanter Vincent Labrune. Déjà , mediafootmarseille.fr assure que Bielsa a suivi les performances de l’international Espoirs à Salo Paulo et qu’il n’a pas changé d’avis à son sujet. Par conséquent, le président phocéen, qui veut garder l’Argentin, va devoir vendre son joueur recruté 8 M€ il y a un an car celui-ci n’acceptera pas de cirer à nouveau le banc. Mais c’est là que à§a se complique car on voit mal un club mettre le paquet pour un jeune qui n’a pas encore fait ses preuves en Europe. Et puis, l’ancien club de Doria, Botafogo, n’aurait toujours pas reà§u le premier versement du transfert. La résultante d’un imbroglio avec les anciens dirigeants, qui avaient demandé des paiements échelonnés à compter de 2015, alors que leur club était dans le rouge, et les sociétés auxquelles Doria appartient. Bref, le cas du Brésilien n’a pas fini de faire fumer Vincent Labrune et fulminer Marcelo Bielsa”¦
