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En réalité, il y en a plusieurs : le bouleversement lié aux transferts, la pénibilité de la saison écoulée, les petits pépins physiques… « Il y a eu 10 ou 11 arrivées. Quand on fait ces changements, soit à§a marche vite, soit il faut que les gens prennent leurs marques. Il y a aussi eu des petites blessures qui n'ont pas permis à Antoine Kombouaré d'aligner l'équipe qu'il voulait. Des gens ont aussi peut-àªtre attendu jusqu'à ce lundi soir pour trouver un club. C'est la vie. Les analyses sur les performances, je les vois comme vous et certains ne sont pas dans ce que l'on attend d'eux. Après, si à§a perdure, d'autres joueront, a constaté le président des Sang et or devant la presse. Il ne faut pas jeter l'eau du bain non plus. On a pris une claque terrible, mais on ne va pas se sauver en courant. Les solutions passent d'abord par une agressivité plus importante, il faut courir encore plus. Ce sont des choses sur lesquelles le coach va travailler pendant 15 jours. Il faut que les gars puissent se libérer. On a vu 2 ou 3 joueurs dans le bon tempo, mais c'est insuffisant. On ne va rien lâcher, on attend plus d'agressivité, du jeu qui va vite vers l'avant. Ce sont des choses que je n'ai pas retrouvées pour l'instant ».
