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Présent en conférence de presse à deux jours du déplacement à Nantes (37e journée), Max-Alain Gradel est revenu sur sa forme personnelle et son avenir. Extrait.
Max, vous àªtes actuellement dans une bonne dynamique”¦
Max Gradel : C'est le travail qui paye. Il ne faut jamais s'arràªter de travailler et toujours àªtre pràªt. On ne sait jamais quand sera son jour. C'est ce que j'ai fait. à‡a se passe bien et tant mieux !
Vous arrivez au Mondial au meilleur de votre forme”¦
Le sélectionneur sait quel joueur je suis. Màªme quand je ne jouais pas, il m'a toujours fait confiance. Il faut toujours àªtre présent.
C'est dur de faire abstraction de la Coupe du Monde ?
Ce n'est pas facile mais à§a fait partie de mon métier. Il faut savoir faire la part des choses. Le Mondial, c'est après la saison. Elle n'est pas encore terminée. L'important, c'est de rester concentré.
Votre forme actuelle ne doit pas passer inaperà§ue. Vous commencez à recevoir quelques offres ?
Il y a des sollicitations mais je fais la part des choses. Je n'ai pas envie de faire tout à la fois. Autour de moi, à§a bouge mais chaque chose en son temps.
Vous voulez àªtre fixé sur votre avenir avant la Coupe du Monde ?
Peu importe ! Le plus important, c'est d'àªtre bien dans la tàªte ! Je n'ai pas envie d'y penser. La saison se termine et après, il y a la Coupe du Monde. Rester ou partir, je n'exclue rien. Je me sens bien ici. J'ai encore un an de contrat. Pour moi, dans ma tàªte, après le Mondial, je suis encore à Saint-Etienne. Après, on verra avec les gens qui s'occupent de moi”¦
Si les dirigeants vous proposaient de prolonger, vous pourriez vous assoir autour d'une table ?
Bien sûr !
A.C, à L'Etrat.
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