PSG : Ibra, seul au monde…

Et le Clasico face à l’Olympique de Marseille (2-2) l’a bel et bien démontré : Zlatan Ibrahimovic devra s’armer de patience au sein de sa nouvelle équipe.De la patience pour récupérer des ballons exploitables. De la patience face aux erreurs répétées du transparent Javier Pastore, justement sorti à la pause par son entraà®neur Carlo Ancelotti. De la patience devant les fautes techniques de Gameiro, aussi valeureux qu’inefficace.Ce soir, au Vel’, Zlatan a tenu lui-màªme son équipe à bout de bras. Deux éclairs de génie, deux buts. Cette volonté d’aller de l’avant et cette nécessité de devoir reculer pour jouer quelques ballons. Le Clasico a prouvé la grande classe du Suédois. Ainsi que la relative faiblesse de ses partenaires.