Après s’en àªtre pris à Karim Benzema, aux propriétaires du PSG ou à son gardien de but Salvatore Sirigu, à‰ric Domard a remis le couvert ce lundi avec un texte, moins polémique toutefois, réclamant que les investisseurs du club de la capitale paient pour les dégâts occasionnés le 13 mai dernier lors de la remise du trophée de champion de France, place du Trocadéro.
‘Près d'un mois après les émeutes, les propriétaires et gérants des commerces ont évalué le préjudice subi à 1 million d'euros. Abandonnés par les pouvoirs publics, ignorés des assureurs, ils se sont regroupés dans une association (association des commerà§ants du Trocadéro) pour défendre leurs droits.
Le Front National renouvelle tout son soutien à ces commerà§ants qui ont subi des actes de vandalisme mettant en péril leur activité professionnelle. Il enjoint les propriétaires qataris du PSG, organisateurs de l'événement, qui n'ont pas su ou n'ont pas voulu anticiper ce déchaà®nement de violences, à prendre part au dédommagement des victimes.
En effet, en refusant catégoriquement d'organiser ce type de festivités à risques au Parc des Princes, ce qui aurait permis de contrôler et de limiter le nombre de participants, la direction qatari du PSG est en partie moralement et financièrement responsable des débordements du 13 mai.
Pour un club qui n'a pas hésité en juillet 2012 à débourser plus de 20 millions d'euros pour recruter un joueur et qui devrait empocher près de 90 millions d'euros de bénéfices divers cette saison, une participation aux réparations ne devrait pas constituer un sacrifice économique insurmontable”¦‘
Depuis un mois, les assurances et l’à‰tat se renvoient la balle pour savoir qui doit assumer le coût des réparations. Une participation du PSG, qui compte se porter partie civile, a également été évoquée.
JD
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