Ces critiques ulcèrent Bruno Roger-Petit, l'éditorialiste du Figaro, qui ne comprend pas qu'on taxe le Breton de « désertion » : « Dérobade. Lâcheté. Honte à celui qui ne n’ose affronter les tirs au but. Et les procureurs de mettre Lyon en bouteille. Si Gourcuff avait tiré, la face du monde en eut été changée », ironise–t-il.
« D’une, il vaut mieux qu’un joueur, quels que soient son statut ou ses qualités techniques, déclare forfait au moment de l’épreuve supràªme, plutôt que de l’y voir se présenter, contraint et forcé, croulant sous une pression insupportable, et justement alors en position de se planter. Et de deux, et surtout, ceux qui aujourd’hui refont l’histoire, accusent Gourcuff de désertion et de trahison pour cause de non tir au but, devraient se repasser le film du match contre le Monaco de Toulalan dans son entier. Si l’OL a pu disputer les tirs au but, il le doit à un certain… Yoann Gourcuff (”¦) Il est affecté du màªme syndrome que Cavani. Il n’a pas la carte. Quoi qu’il fasse, il a toujours tort », a expliqué BRP.












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