Rien à voir, donc, avec le communiqué publié par la CONMEBOL, équivalent sud-américain de l’UEFA, pour qui cette sanction ‘met en péril l’intégrité du processus électoral’. La deuxième confédération la plus puissante du monde appelle l’instance dirigeante du football international à ‘reconsidérer cette suspension’.
Pour rappel, l’ancien numéro 10 de l’équipe de France, candidat à la présidence de la FIFA, a été puni suite au versement d’1,8 million d’euros consenti par l’actuel patron de l’instance, Sepp Blatter. Le scrutin doit avoir lieu le 26 février prochain.












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