La première, c'est que dès que le niveau de l’adversité s'élève, l'OM perd. La seconde, c'est le manque d'animation offensive. Pour s'en expliquer, l'entraà®neur à la casquette a donné quelques exemples de ce qu'il attend vraiment de ses attaquants.
Gignac n'est pas le seul visé
« Ce que je voudrais, c’est qu’on rentre plus dans la surface, explique l’entraà®neur de l’OM sur Le Phocéen. Sur les relevés qu’on a après chaque match sur le nombre de ballons touchés, on en touche beaucoup sur les côtés dans les 20 mètres, on est beaucoup présent à droite et à gauche, mais on n’a pas assez de présence à l’intérieur du jeu. Et à§a ne vient pas que de la pointe. Dans notre système, on a trois joueurs derrière l’attaquant qui à tour de rôle doivent aussi davantage rentrer dans cette surface. Mais il faut reconnaitre que nos adversaires, connaissant notre manière de jouer, nos automatismes, empàªchent à§a… C’est pourquoi on travaille sur cet aspect-là ».
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