PSG : Kombouaré ou le licenciement heureux
Remplacé par Carlo Ancelotti à la fin du mois de décembre 2011, alors que le PSG occupait la tête du championnat de France, Antoine Kombouaré n’a jamais exprimé la moindre rancÅ“ur à l’égard du club de la capitale.
Et s’il reconnaà®t ce mardi dans L’à‰quipe avoir entretenu des relations ‘très fraà®ches‘ avec son directeur sportif Leonardo, l’ancien défenseur n’en garde pas moins un comportement très fair-play à l’égard ses anciens dirigeants.
‘À ma place, d'autres entraà®neurs auraient très mal vécu le fait de se faire virer en étant champion d'automne. Je n'ai pas voulu en faire un combat personnel, mettre les médias de mon côté pour entamer une sorte de bras de fer. (…) Je n'en voudrai jamais ni à Leonardo, ni à ses supérieurs. Je n'étais qu'un salarié dans une entreprise. (”¦) Je comprends qu'un nouvel investisseur vienne avec son projet, sa politique. Il faut l'accepter.’
Certains se rappelleront que l’ancien coach de Valenciennes avait reà§u une belle prime de départ, celle-ci expliquant peut-àªtre l’indulgence du technicien à l’égard de ses anciens patrons. Mais Kombouaré l’assure, c’est d’abord par amour pour le club de la capitale, où il a passé sept saisons (joueur comme entraà®neur), qu’il continue d’en suivre les résultats.
‘Paris, c'est mon club. Je l'adore et je suis très fier de le voir jouer la Ligue des Champions. On est partis pour àªtre champions de France.’
Resté très populaire auprès des supporters parisiens, le technicien kanak va l’àªtre davantage encore après ce genre de déclarations.
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