C'était avec l'AS Nancy-Lorraine, face au Shakhtar Donetsk, il y a sept ans maintenant.
Dans Le Progrès, le latéral gauche stéphanois est revenu sur cette première visite : « Ce qui m'avait marqué à l'époque en Ukraine c'est qu'on passait très vite de la misère au luxe. En l'espace d'une centaine de mètres, on passait d'immeubles avec des vitres cassées aux hôtels de luxe. »
Très au fait du contexte politique compliqué avec le conflit entre l'Ukraine et la Russie, Jonathan Brison a conscience que ce déplacement à Kiev n'est pas anodin : « Cela fait toujours un peu peur màªme si ce n'est pas là où c'est le plus tendu et où il y a des combats. Ma compagne est clairement inquiète. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Mais deux matchs ont déjà eu lieu là -bas. L'Inter et Qarabag ont joué à Kiev, il n'y pas eu de problèmes. Le club et màªme les instances du football, ne nous laisseraient pas courir de risques. Normalement, il n'y aura pas de souci. »












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