Avant de penser à la dimension physique, c’est au niveau mental que les joueurs stéphanois ont flanché d’après le milieu stéphanois. « Il ne faut pas se réfugier derrière la fatigue, c'est avant tout un combat que l'on n'a pas su gagner. On ne s'est pas créé d'occasions alors qu'on avait le sentiment qu'à tout moment on pouvait marquer ce but qui aurait changé la physionomie du match. On aurait peut-àªtre dû mieux entamer notre match, jouer différemment », a confié Pajot dans les colonnes du Progrès.



