L'expérience a tourné court car l'actuel co-président des Verts s'est heurté à des freins qu'il ne digère toujours pas complètement encore aujourd'hui. « En 1990, j'avais proposé à Lagardère de racheter le Matra-Racing, mais Piette ( NDLR : directeur général) n'avait pas voulu et avait préféré descendre en D”‰3. Je suis donc allé au PFC, qui était en grandes difficultés financières. En deux ans, j'ai investi entre 2 et 3M€. Pierre Lechantre était l'entraà®neur, Carlos Bianchi le directeur sportif. De grands noms comme Omar Da Fonseca et Ruben Umpierrez finissaient leur carrière chez nous, a-t-il expliqué dans le quotidien Aujourd'hui en France. La deuxième année, on termine 2 e à un point derrière Melun, qui a déposé le bilan. Et c'est un club de L”‰2 qui a été repàªché. Si Melun n'avait pas triché en vivant au-dessus de ses moyens, on montait. A l'époque, il n'y avait pas de DNCG. J'ai ressenti cette affaire comme une injustice. J'étais dégoûté et j'ai quitté le PFC. Mais j'avais 36 ans et j'ai beaucoup appris de cette première expérience comme dirigeant de club ».
Pour l'anecdote, le Paris FC a l'occasion de remonter en Ligue 2 dès ce vendredi soir avec le président Pierre Ferracci à sa tàªte.












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