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Un léthargique durant la première période et un autre séduisant sur la fin. Une transformation qui s'explique les choix tranchés de René Girard lequel n'a pas hésité à sortir Ryan Mendes avant la pause pour réorganise son équipe d'un 4-2-3-1 vers un 4-4-2 losange. Mais la tactique n'est pas l'unique levier sur lequel le coach des Dogues a joué. En effet, à la pause, celui-ci a fait trembler les murs sur l'intimité du vestiaire.
Questionné sur le sujet par la Voix du Nord, Jonathan Delaplace a reconnu que le Gardois s'était laissé aller : «Il y a eu des mots, c’est sûr, des paroles. Lesquelles? Vous le connaissez un peu, vous imaginez bien le ton…», a souri l'intéressé, plus loquace que son coach qui s'est contenté de casser l'idée reà§ue selon lequel il avait été particulièrement virulent à l'égard de ses hommes (« Il ne faut pas croire que je me bats avec mes joueurs à chaque mi-temps»).
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