Attention à ne pas tomber dans la facilité…
Un réalisme implacable
Alexandre Lacazette et Clinton Njie ont donné le tournis à la défense lensoise mais c'est surtout le réalisme qui a frappé les esprits. Après 14 minutes de jeu, l'OL avait déjà inscrit 2 buts en 3 occasions ! Pour couronner le tout, Lacazette a pu àªtre préservé après une heure de jeu…
Lopes sauve le match ?
On se répète mais avant d'avoir une attaque efficace, l'OL possède un gardien qui sait faire la différence. A 1 à 0, Anthony Lopes a ainsi réalisé une prouesse à bout portant devant Baptiste Guillaume. Une parade qui a sans doute changé la physionomie du match.
L'OL part sur des bases élevées et tombe dans la facilité
Fluidité dans les passes, quadrillage parfait du terrain, disponibilité… Cet OL-là semble partir sur des bases identiques à sa dernière prestation contre Bordeaux fin 2014. L’absence de titulaires habituels dans cette équipe et le mauvais coaching d’Hubert Fournier les a fait tomber dans la facilité après l’heure de jeu.
Les latéraux, la solution absolue
Solides, les fondations lyonnais semblent basées sur la participation impeccable des latéraux. Jallet et Dabo ont été inspirés défensivement et offensivement en compensant leur manque de vitesse par un surplus d'expérience dans les couloirs. Le dernier quart d’heure a été plus dur que prévu.
Les Gones et la notion de plaisir
Et si l'OL jouait aussi bien grâce à la notion de plaisir ? Absente des équipes qui verrouillent, celle-ci fonctionne à plein du côté des Gones, qui donnent une vraie impression de se régaler à jouer au ballon. Couverture mutuelle en défense, combinaisons en attaque… Les bases sont posées.












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