1. Jérémy Morel (OM, 30 ans) : Bouc émissaire du Vélodrome ces dernières saisons, le latéral gauche a été replacé dans l'axe par Marcelo Bielsa, où il forme la charnière centrale avec Nicolas N'Koulou. Propre dans ses interventions et à la relance, on retrouve un joueur solide qui gagne en confiance. Nommé à plusieurs reprises dans le onze-type de la journée par le quotidien L'à‰quipe, il a màªme eu droit à une ovation du public phocéen lors d'un de ses remplacements.
2. Diego Rolan (Bordeaux, 21 ans) : Arrivé il y a un an et demi, l'Uruguayen des Girondins de Bordeaux a attendu cette saison pour s'affirmer. Sous le coaching de Willy Sagnol, l'attaquant a marqué déjà 4 buts, soit le double de ce qu'il avait inscrit sur ses 18 premiers mois en Gironde. Très actif sur le front de l'attaque du club au scapulaire, son entente avec Diabaté est plus que prometteuse.
3. Jordan Ferri (OL, 22 ans) : On le savait besogneux, accrocheur et doté d'une grosse frappe de balle, le « petit Balmont » de l'OL s'est découvert passeur. Le meilleur de la Ligue 1 pour l'instant (4 en 9 journées). Après une saison 2013-14 réussie, le natif de Cavaillon profite des absences au milieu de terrain (Fofana, Grenier) pour se faire une place. Le trident 100% Gones qu'il compose avec Maxime Gonalons et Corentin Tolisso est particulièrement plaisant à voir évoluer.
4. Nicolas Pallois (Bordeaux, 27 ans) : Après de bonnes performances à des niveaux inférieurs notamment à Quevilly et Niort, le défenseur central s'est engagé cet été avec les Girondins de Bordeaux. Très utilisé dans le dispositif de Sagnol, pour sa redécouverte de la L1, après quelques apparitions à Valenciennes il y a quelques années, Pallois répond présent et donne satisfaction à son coach. Le taulier de l'arrière-garde aquitaine, c'est lui !
5. Jean Christophe Bahebeck (PSG, 21 ans) : Revenu au PSG après un pràªt à Valenciennes, Bahebeck a décidé de resté à Paris cet été, dans l'intéràªt du club qui avait besoin de joueurs formés au club pour la Ligue des Champions. Souvent remplaà§ant, il a profité de l'absence de Lavezzi et de Zlatan pour jouer plus. Il s'est màªme offert deux passes décisives et envoie un message clair à Laurent Blanc : il n'est pas seulement là pour couper les citrons.
Romain PATINEC (avec A.C)












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