PSG : les 5 enseignements de la victoire face à l’ASSE (5-0)

PSG : les 5 enseignements de la victoire face à  l’ASSE (5-0)
But ! Football Club
31 août 2014

Un score un peu flatteur au vu de certaines difficultés dans le jeu. Mais quand Ibra est là …

Un PSG pas si brillant en première mi-temps

Le score de la partie est franchement flatteur pour un PSG gàªné en première mi-temps dans l’entrejeu par la présence en nombre de joueurs stéphanois et incapable de mettre le pied durablement sur le ballon. La possession de balle est restée équilibrée jusqu’à l’heure de jeu et jamais les coéquipiers de Thiago Motta n’ont semblé en mesure de changer de rythme jusqu’à 3-0. Un important déchet technique a également gâché la construction des actions.

Ibrahimovic, le maà®tre

Revenu de blessure, l’international suédois a repris les choses là où il les avait laissées en inscrivant trois buts. Ce n’est pas la rencontre de ce soir qui chassera le spectre de la fameuse ‘Ibra-dépendance’. Mais est-ce si préoccupant de se reposer sur le talent d’un seul joueur lorsque celui-ci paraà®t aussi sûr de sa force ?

Cavani sauve les apparences

Les semaines passent et rien dans les prestations d’Edinson Cavani n’indiquent son réveil prochain. Ce soir encore, l’ailier gauche de circonstance a rarement touché le ballon dans le sens du but et s’est montré emprunté dans ses remises, ses contrôles, et màªme ses frappes au but, à l’image de ce raté de la 61e minute. Mais voilà , en une action superbe, l’international uruguayen s’est offert un répit. En espérant que ce but lui permette de reconstruire sa confiance…

La défense invincible

L’air de rien, cela fait trois matches de suite que le PSG n’a pas encaissé de but. Les offensives stéphanoises ont certes été timides, mais Marquinhos affiche une assurance nouvelle et Salvatore Sirigu fait tout ce qu’il faut lorsque c’est nécessaire. Bon, David Luiz fait quelques gestes pas très orthodoxes mais pour l’instant, aucune conséquence à déplorer.

Pastore, Verratti, Maxwell… Les piliers sont là

On a retrouvé Maxwell, titulaire pour la première fois de la saison, tel qu’on l’avait laissé : sobre, efficace. Mais la satisfaction vient surtout de Javier Pastore, qui a confirmé son bon début de saison en étant le seul joueur de son équipe à faire la différence en un contre un. Enfin, Marco Verratti a récité sa partition habituelle dans l’entrejeu.

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