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Poursuivant sa tournée des médias après la sortie de son livre « Connivences », Jean-Claude Dassier est à l'honneur dans La Provence ce mercredi matin. Comme il l'a expliqué dans plusieurs interviews depuis une quinzaine de jours, l'ancien président délégué en remet une couche sur l'irrespect dont il a été victime de la part du club, de Margarita Louis-Dreyfus, de Vincent Labrune”¦Mais il explique aussi pourquoi il n'a pas joué plus dur : « Un brûlot ? Cela n'a pas lieu d'àªtre. De mon expérience à Marseille, je n'ai pas que des bons souvenirs, on a perdu quelques matches au Vélodrome mais rien de comparable avec l'intéràªt de ces deux années, l'accueil de la ville et de ses habitants, les résultats aussi », a balancé Dassier qui défend aussi par ce biais son ancien directeur général, Antoine Veyrat : « Il suffisait de me payer ce qu'on me devait et on serait restés copains. »
La ligne de défense qui ne tient pas…
Dans son plaidoyer, l'ancien journaliste de TF1 surjoue parfois aussi son rôle de « Cosette » : « Mon successeur a expliqué que je n'étais pour rien dans les succès, Pape Diouf m'a qualifié de mascotte. Je comprends : je suis journaliste, parisien, j'ai beaucoup de défauts… » Rappelons quand màªme à Monsieur Dassier qu'il s'agit d'une tirade un peu bancale. En effet, parmi ses deux détracteurs, il y a un Parisien (Labrune) et un ex-journaliste (Diouf).
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