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C'est en tout cas ce que pense son représentant Mino Raiola, qui, dans France Football, a évoqué son poulain dans des termes bien à lui : « On m'a dit qu'il avait été nerveux face à Toulouse”¦ C'est que à§a allait bien. C'est quand il est calme que à§a ne va pas. Laissons-le nerveux ! », a souri l'agent italo-néerlandais.
« Laissons-le nerveux ! »
En màªme temps, difficile de lui donner tort puisque, depuis qu'il a été critiqué, Ibra a enchaà®né un match démentiel face à Benfica et deux nouvelles solides performances contre Marseille ainsi qu'en sélection suédoise face à l'Autriche. Dans son autobiographie « Moi, Zlatan », l'attaquant de 32 ans parle souvent de cet état second qui fait de lui un autre joueur lorsqu'il est énervé. Notamment lors de son épisode barcelonais. « Si je ne suis pas en colère, je ne joue pas bien. J'ai besoin de gueuler, je fais du boucan », confiait-il un jour à son biographe David Lagercrantz. Et si c'était finalement à§a, la vraie magie d'Ibracadabra ?
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