« Si je viens, c'est parce que je suis professionnel et que je dois le faire. à‡a me fait plutôt plaisir de venir. Je vous connais tous et je n'ai aucun problème à le faire. Il y a un système de roulement qui a été mis en place et qui fait que chaque joueur est tenu de répondre à vos questions. Mais j'en ai un peu marre de voir ici ou là que c'est trop souvent les màªmes joueurs qui viennent face à la presse. Ce qu'il faut savoir me concernant, c'est que – si on ne me dit pas de venir – je ne viendrais pas de mon propre chef », a tenu à faire savoir le portier rhodanien, très souvent présent au front.
« à‡a veut surtout dire qu'il y en a qui sont plus à l'aise”¦ »
Quand on lui fait remarquer que tout le monde ne joue pas le jeu, Vercoutre reprend : « à‡a veut surtout dire qu'il y en a qui sont plus à l'aise, d'autres qui aiment moins et d'autres qui se sentent moins de le faire dans les périodes un peu plus compliquées. Ce n'est pas un exercice facile. On n'est pas forcément préparé à à§a depuis tout jeune. »
« Dites que vous n'àªtes pas heureux de me voir ! »
Lorsqu'un journaliste lui fait remarquer qu'on aimerait aussi voir davantage Bafétimbi Gomis, Lisandro Lopez ou Steed Malbranque, l'ex-doublure de Lloris rigole : « Dites que vous n'àªtes pas heureux de me voir et je m'en vais ! » Est-ce que cela désert ceux qui ne viennent jamais ? « Pour àªtre franc, il est clair que, quand on vient, une certaine confiance s'instaure entre vous (ndlr : les journalistes) et les joueurs. A un moment donné, j'ai màªme tendance à dire que vous àªtes plus clément avec ceux qui jouent le jeu. On est tous d'accord là -dessus ? Je pense màªme venir plus souvent », a-t-il lancé tout sourire pour clore la parenthèse.
A.C, à Tola Vologe.












Rejoindre