Dans le long entretien accordé à la Provence, Jean-Claude Dassier a évoqué le cas de José Anigo. L'une des rares personnes avec lesquelles l'ancien dirigeant n'est pas en froid aujourd'hui à Marseille. Et Dassier monte màªme dans les tours quand on lui parle de l'image sulfureuse du directeur sportif de l'OM : «Si c'est un truand qui pique dans la caisse, qui a étranglé le gardien du stade qu'on le prouve, mais à§a fait des années qu'on le fait passer pour une fripouille qui a introduit les gangsters. Moi je n'ai pas vu de gangsters. J'ai croisé Barresi une fois, il est agent FIFA et nous a arrangé le transfert de Niang mais je n'ai croisé personne dans les couloirs et je n'ai pas connu le moindre souci de gestion. L'avalanche de sous-entendus, de quasi-diffamations, à§a suffit ! », peste l'ex-journaliste – qui sait mieux que quiconque qu'on ne juge que sur des faits.
Resté proche d'Anigo qu'il a encore eu il y a peu après la disparation tragique de son fils Adrien, Dassier dépeint une image aux antipodes des clichés de son ancien collaborateur : « Je suis peut-àªtre un fieffé crétin mais moi j'ai vu un gars fou de son club, qui y travaille et que mon successeur a conservé. Et il a bien fait. C'est au moins un point sur lequel nous ne sommes pas en désaccord. »
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