Invité à se livrer dans le JDD dans un entretien croisé avec le comédien Eric Elmosnino, Didier Deschamps est revenu sur son rapport avec les journalistes qui suivent l'équipe de France, reconnaissant àªtre parfois tenté de faire du José Mourinho :
« En conférence de presse, s'il y a des poils à gratter, là oui, à§a devient un jeu de répartie. Joueur, j'étais champion de la langue de bois. Je parle davantage aujourd'hui (”¦) Quand un mec te pose une question en conférence de presse, avec le sourire, alors que tu sais qu'il t'a massacré le matin dans son papier, tu n'as qu'une envie, c'est de lui régler son compte. Mais ce serait la pire des choses », commente le sélectionneur national, qui n'a pas envie de suivre les traces du provocateur Raymond Domenech qui, lui, ne s'était pas privé.












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