Ou pas. Voici quelles sont les hypothèses qui s'offriront alors au club sang et or.
Plusieurs options s'offrent au RC Lens mais, d'après l'AFP, il semblerait qu'une soit en avance sur les autres…
Un nouvel investisseur, oui mais qui ?
La première consiste à trouver un investisseur pràªt à succéder à Hafiz Mamamdov, ce qui ne courrait pas les rues malgré la confiance constante affichée sans fard par Gervais Martel, qui ne s'est pas « croisé les bras pendant ces derniers mois ». L'état azerbaà¯djanais tiendrait-il la corde (voir plus bas) ?
Une mise aux enchères salutaire pour Mammadov ?
La deuxième serait une « montée aux enchères » opérée par ce màªme Mammadov dans le but de récupérer quelques millions d'euros, histoire de se renflouer personnellement, voire de récupérer sa mise de départ dans le club artésien. Ce qui semble plutôt complexe, là aussi, màªme s'il sauverait au moins la face sur le plan financier sans l'élégance qui va avec.
Un dépôt de bilan qui n'arrange personne ?
Enfin, voir le RC Lens déposer le bilan, ce qui n'arrange personne. Mammadov le premier. Après avoir investi autant d'argent, l'homme d'affaires perdrait alors tous ses acquis. Il a donc intéràªt à vendre, sans trop tarder et éviter ainsi de prendre le risque de ternir définitivement l'Azerbaà¯djan au moment où il veut tisser des relations étroites avec la France. Il semble toutefois peu probable qu'il cède le club à Gervais Martel pour un montant dérisoire.
CONCLUSION : La solution ne peut finalement venir que de Mammadov lui-màªme, que Gervais Martel va tenter de persuader de céder le club pour débloquer la situation. Selon l'AFP, l'à‰tat azerbaà¯djanais, par l’intermédiaire du ministre des Transports Zyia Mammadov et de son fils Anar, semble intéressé par le RCL puisqu’il a déjà versé au club 2,5 millions d’euros fin décembre. Dans cette optique, la solution la plus simple serait que Mammadov vende le RCL à l’Etat azerbaà¯djanais pour récupérer une partie de l’argent investi dans le club artésien depuis juillet 2013 mais les relations tendues entre les deux parties compliquent les transactions, l’homme d’affaires semblant àªtre tombé en disgrâce en haut lieu.
JP












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