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L'homme d'affaire franco-polonais n'avait pas hésité à rentrer dans le lard du président de Guingamp, Bertrand Desplat, qui s'opposait à la journée de boycott du 30 novembre :
« Cette solidarité est d'une logique intellectuelle évidente. Je ne vois pas comment on pourrait àªtre contre. Il faut défendre le football et c'est l'affaire de tous. S'il y avait autant d'argent dans le foot que ce qu'on prétend, Lens, Nancy et Strasbourg n'en seraient pas là aujourd'hui. Vous n'avez pas idée de la lourdeur de la gestion au quotidien d'un club professionnel. C'est usant, psychologiquement et financièrement. On s'investit beaucoup, trop sans doute », a-t-il justifié à France Football.
