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Retour sur les quatre facteurs qui ont provoqué le réveil aquitain.
Sagnol fort dans ses choix
Quand certains coaches auraient paniqué en effectuant un large turn-over dans leur effectif après une déroute 6-1, Willy Sagnol n'a apporté que deux changements dans son onze”¦ Dont un forcé avec la suspension de Crivelli remplacé par Rolan. Résultat : les joueurs humiliés trois jours plus tôt ont eu une réaction d'orgueil. ‘Je voulais remettre les màªmes pour montrer que ce n’était qu’un accident à Nice’, s’est justifié l’intéressé au coup de sifflet final. Pari réussi.
Khazri décisif sur les trois buts
S'il est sorti au bout d'une heure de jeu, Wahbi Khazri a été le grand bonhomme de la rencontre face à l'OL. Auteur de l'ouverture du score au bout de 17 minutes, le Tunisien a également distillé deux coups de pied arràªtés victorieux, respectivement pour la tàªte de Plasil et le crampon du défenseur brésilien Pablo.
Plasil plaque tournante rassurante
Déjà buteur et plutôt intéressant à Nice, Jaroslav Plasil a confirmé, en inscrivant une belle tàªte sur corner, qu'il était dans une bonne forme actuellement. Au-delà de ses buts, le Tchèque a été bon que ce soit dans le travail défensif”¦ ou dans son rôle de rampe de lancement.
Pablo et Carrasso ont serré la vis
Défensivement très fébrile sur la Côte d'Azur, Bordeaux a su retrouver une assise contre Lyon. Si Nicolas Pallois a encore paru un peu fébrile, marqué par son CSC à Nice, les autres défenseurs ont fait le boulot. On pense notamment à Pablo, auteur de son premier but avec les Girondins, ou encore à Cédric Carrasso, qui s'est rassuré en n'encaissant qu'un but sur lequel il ne peut rien.
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