Pour plusieurs observateurs, pourtant, celle-ci n'a pas lieu d'àªtre. Marouane Fellaini, sur beIN SPORT, a parfaitement résumé la situation en affirmant que malgré tout, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo tournent chaque saison à plus de 50 buts en moyenne et qu'il est donc compliqué voire impossible de rivaliser avec eux.
Il y a un observateur qui pense màªme que l'apport d'Ibrahimovic est un peu surfait au Paris Saint-Germain. Ou, du moins, qu'il n'est pas aussi important que celui d'Edinson Cavani : le chroniqueur Bruno Roger-Petit. Sur son blog pour Sport 24, ce dernier détaille le fond de sa pensée :
« La réalité est là : dans les moments clés, dans les instants difficiles, c’est Cavani qui surgit, vainqueur masqué qui l’est à chaque fois. Pas toujours Ibra, qui brille le plus souvent en terrain conquis. Quand viendra le temps des vraies grandes batailles européennes, quand l’esprit de conquàªte est requis, il est probable que Cavani affichera encore et toujours cette détermination qui semble àªtre chez lui une marque de fabrique (…)
Faut-il le rappeler ? Ibrahimovic n’a jamais été, jusqu’à présent, l’homme des grandes batailles européennes, celles qui comptent, celles qui disent la vérité d’un destin de grand footballeur. Voilà pourquoi il n’est pas interdit de penser que Cavani apporte au PSG ce qu’Ibrahimovic, malgré tout son talent, voire son génie, ne lui avait pas apporté : ce petit quelque chose que l’on appelle un supplément d’âme ». Pas vraiment faux, non ?
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