Programmée en fin de matinée, celle-ci n'a en effet rassemblé que cinq journalistes, pour trois médias différents, dont notre correspondant, ce qui représente une moyenne assez basse pour un club de l'importance du Racing. Aucun confrère de la télévision ni màªme de la radio n'avait en effet daigné faire le déplacement au sein du club artésien. Faut-y voir un signe de résignation ou, tout simplement, d'indisponibilité généralisée ? Aujourd’hui, on peut se poser la question…
PG, à Lens













