À l’occasion de ces retrouvailles, La Voix du Nord a interrogé certains des anciens coaches du défenseur du RC Lens, qui ne tarissent pas d’éloges à l’égard de leur poulain.
« Je l'ai lancé en National, se remémore Jean-Luc Vannuchi, ancien entraà®neur du PFC, dans les colonnes du quotidien. Ce qui m'avait marqué à l'époque, c'était sa puissance, sa vitesse. Il avait des lacunes tactiques, mais pouvait s'appuyer sur un gros volume de jeu. C'était un garà§on très sérieux, très à l'écoute. »
‘Il n'a pas de défaut rédhibitoire’
Des louanges auxquelles font écho celles de Daniel Sanchez, qui a eu Lala sous ses ordres à Valenciennes.
« Il venait du monde amateur, c'était un vrai potentiel, il a mis une année avant de l'exprimer. Il a pris la place de Mater sur un match contre Saint-Etienne, je m'en souviens. C'est un joueur qui a des capacités athlétiques naturelles, mais aussi une très bonne détente, qui m'avait poussé à le faire jouer dans l'axe parfois. Techniquement, c'est pas mal, c'est un bon contre-attaquant. Il n'a pas de défaut rédhibitoire, màªme si parfois son investissement était en dents de scie. C'est là qu'il devait travailler. »
Titulaire à quatorze reprises cette saison en Ligue 2, Kenny Lala fait partie des rares joueurs d’Antoine Kombouaré à n’avoir quasiment effectué aucun séjour sur le banc de touche cette saison.












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