Content que ses hommes se soient qualifiés sur le terrain de Saint-Etienne en quart de finale de la Coupe de la Ligue (1-0), Laurent Blanc nourrissait malgré tout un peu de rancoeur à l'égard des médias : “Après Bastia, j'avais l'impression qu'on ne savait plus jouer au football. Qu'il y avait un mauvais état d'esprit. Des joueurs qui n'arrivaient plus à jouer ensemble”¦ J'ai quand màªme trouvé que notre deuxième mi-temps de Bastia avait été très commentée”¦”
Fermé sur Marquinhos, Cavani et Lavezzi
En conséquence, le “Président” s'est fermé sur à peu près tous les sujets sportifs. Marquinhos latéral droit, une solution pérenne ? “Vous verrez ! C'est un choix tactique. Les explications, les analyses”¦ Je ne suis pas obligé de vous les donner. Marquinhos peut jouer latéral droit, milieu défensif ou défenseur central.” L'absence persistante d'Edinson Cavani et Ezequiel Lavezzi, un choix qui pourrait durer ? “Déjà , ils sont réintégrés. Pour la suite, vous verrez”¦”
“Le président a joué son rôle”
Concernant son cas personnel, Laurent Blanc s'est voulu plus loquace : “Est-ce que je suis rassuré ? C'est la question que tout le monde me pose. Je ne suis pas plus rassuré qu'avant le match car je n'étais pas non plus très inquiet. Est-ce que le président a haussé le ton dans le vestiaire avant le match ? Pas du tout ! Il a tenu un petit discours qui ne vous regarde pas. Lui aussi a vu le match contre Bastia. Il n'a pas compris ce qui nous était arrivé. Il a dit les choses et mis les joueurs devant leurs responsabilités. C'est son rôle. Il a joué son rôle.”
A.C, à Geoffroy-Guichard.













