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Ce match nul (1-1) face à Monaco concédé dans les derniers instants devrait laisser des traces. Bilan de la soirée.
Blanc sait qu’il a perdu gros
A voir son immense colère à la fin du match sur l’égalisation monégasque, il est évident que Laurent Blanc sait ce qui risque de lui tomber sur la tàªte. Ses joueurs n’ont pas écouté ses consignes en fin de match, où le coach parisien leur hurlait de remonter. Et surtout, la sortie de Pastore lui sera forcément reprochée, l’Argentin étant le meilleur joueur parisien et le plus à màªme de conserver le ballon.
Cavani, l’énigme continue
Face au FC Barcelone, Edinson Cavani avait déjà été la seule déception parisienne dans un match mémorable, et ce malgré un gros sacrifice défensif. Mais ce soir, l’attaquant uruguayen a également montré très peu de choses. Rarement trouvé en bonne position, semblant parfois à contre-temps dans le jeu parisien, il n’a définitivement pas convaincu alors qu’Ibrahimovic fera certainement son retour en pointe après la tràªve.
Pastore, le chef d’orchestre
En l’absence d’Ibrahimovic et Lavezzi, Laurent Blanc avait une nouvelle fois revu son système, alignant Pastore à la pointe d’un milieu à quatre en losange. Javier Pastore a joué sa partition de meneur de jeu de manière parfaite. Intercalé entre les lignes, jouant très souvent juste, Pastore a définitivement franchi un cap. Et sa sortie a peut-àªtre coûté cher à Paris.
Bahebeck, un vrai joker
Au début de saison, qui aurait pu croire que Jean-Christophe Bahebeck aurait une quelconque influence dans ce PSG rempli de stars ? Face au Barà§a, il avait déjà fait une belle entrée. C’est lui qui a débloqué la situation face à Monaco avec un superbe travail pour offrir le but à Lucas. Bahebeck s’affirme comme un vrai membre de la rotation parisienne.
Marseille creuse encore l’écart
Encore une fois, voilà un week-end où le Paris Saint-Germain perd des points par rapport à l’OM ! A une minute près, le PSG prenait la deuxième place à Bordeaux et devenait officiellement le poursuivant des Marseillais. Mais l’égalisation monégasque laisse la bande à David Luiz à sept longueurs des Phocéens ! Déjà un bel écart.
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