Alors que l’OL est mal embarqué en Ligue des champions, loin d’àªtre flamboyant en championnat et perturbé par des tensions interne, le président Aulas a tenté de calmer le jeu dans les colonnes du quotidien. Pour lui, les difficultés sportives s’expliquent par une raison principale, l’absence de Fekir. « La saison dernière, Nabil Fekir n’était pas blessé. (”¦) Je vous garantis qu’avec Nabil, on serait sur le podium du championnat et que l’on aurait six points de plus en Ligue des champions. » Néanmoins, màªme sans lui, Aulas estime que la greffe devrait prendre entre les anciens et les nouveaux : « Il faut y réfléchir, tout le temps. Les joueurs sont entièrement responsables de à§a : ce sont eux qui font la vie du groupe et accueillent les nouveaux arrivants. Il est de leur intéràªt et de leur responsabilité d’intégrer les nouveaux. »
Aulas défend les débuts de Valbuena
Jean-Michel Aulas a également évoqué le cas Mathieu Valbuena, qui répond aux attentes selon lui, d’autant plus au regard d’un contexte etra-sportif pas simple à gérer. « Je trouve que c’est l’un des meilleurs depuis le début de la saison. Il est moins efficace qu’on pouvait l’imaginer en regardant son expérience en équipe de France ou à Moscou, mais les anciens, eux aussi, sont moins bons. Pourquoi les nouveaux seraient meilleurs du jour au lendemain ? Et puis Mathieu a un comportement exemplaire. »
Aulas étonné que les informations internes sortent aussi vite
Aulas, enfin, a évoqué les tensions interne révélées dans la presse récemment. Sans cacher sa surprise de constater à quelle vitesse ces informations ont été relayées. « Ce qui me frappe, c’est que la presse est très perméable à des choses qui existent dans tous les vestiaires. Mais il y a chez nous une perméabilité invraisemblable : l’incident entre Rose et Tolisso était dans le Parisien avant que j’en sois averti. Cela n’aide pas Hubert Fournier et j’y vois un peu de lobby des joueurs non titulaires. »
