Leur manque d'autorité peut donc àªtre remise en cause. Le poids des mots, les moments choisis et tout simplement leur proximité avec eux semble les empàªcher d'avoir un quelconque retour sur investissement. C'est assez compréhensible. Comment écouter des personnes qui ne semblent pas à leur véritable poste ? Anigo, à la base directeur sportif, est un entraà®neur par défaut tandis que Labrune, homme de communication, a été catapulté président comme par enchantement.
Ce dernier a donc perdu l'écoute de ses joueurs mais il semble que la faute lui en incombe. En effet, il est bien trop proche de certains d'entre eux pour pouvoir établir un quelconque rapport d’autorité. Sa proximité avec André Ayew serait notamment mal perà§ue. C'est la version touchée du doigt par Hélène Foxonet, journaliste de L'Equipe basée à Marseille, et développée sur son blog.
« Il ne peut pas se comporter comme un pote avec ses joueurs parce qu'ensuite les rapports sont faussés », témoigne ainsi un agent chez nos confrères. La vraie question est finalement de savoir si Labrune, toujours soucieux d'avoir des rapports fraternels avec les Marseillais, est vraiment considéré comme un patron par eux ? Et si, en filigrane, il a vraiment l'étoffe d'un chef de meute. Aujourd'hui, il existe une seule et màªme réponse à ces deux interrogations.
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