L'ancien numéro dix des Bleus, de la Juventus, de Nancy et de Saint-Etienne a d'ailleurs un très bon argument pour se passer de cette nouvelle technologie : « Je préfère investir plus pour les jeunes et les infrastructures que dépenser de l’argent pour une technologie qui ne servirait que ponctuellement, lorsqu’un arbitre n’aurait pas vu un but ».












